Introduction.

Les évènements s’enchainent de plus en plus rapidement. Nos repères s’estompent, sous une forte pression médiatique. Nous sentons confusément que quelque chose de sombre va arriver. Pourtant, nous sommes entrés dans les temps de l’apocalypse, c’est-à-dire, les temps du dévoilement, de la vérité.

Deux anciens amis, que les fidèles lecteurs de ce blog connaissent bien, se joignent à moi pour décrypter différents faits d’actualité de manière succincte. Il s’agit du démystificateur de sophismes économiques, Frédéric BASTIAT et de mon poète préféré, Alex ANDRIN.

Mes billets s’articulent en trois parties. Les deux premières, à la manière de « l’ami Frédéric », avec son célèbre : « Ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas ». La troisième partie est réservée à la vision de « l’ami Alex ».

 

CE QUE L’ON VOIT

Un missile hypersonique russe « Kinjal», qui signifie « Dague », aurait réussia réussi à frapper un centre de commandement, de contrôle et de communication conjoint, Otano-Kiévien, installé sur le territoire ukrainien, tuant de nombreux personnels. Ce dispositif militaire, hautement blindé, était situé à une profondeur de 130 mètres.

Ce missile, d’une technologie à ce jour inégalée, a déjà fait ses preuves sur le champ de bataille ukrainien, moins d’un mois après le déclenchement de l’opération militaire spéciale (OMS).

 

CE QUE L’ON NE VOIT PAS

Le titre de ce billet est une phrase, attribuée entre autres, à Jules César : « Si vis pacem para bellum . Elle énonce un principe selon lequel il faut se préparer à toutes éventualités, de façon à y faire face avec succès.

C’est ce même principe qui a poussé le Général de GAULLE à doter la France de l’arme atomique, en 1959, pour dissuader tout adversaire potentiel de notre pays, de tenter de nous « chatouiller ».

Dans des temps plus anciens, en chine, la légende de Sun TZU lui attribue la rédaction d’un recueil de stratégie militaire, connu sous le nom de « L’art de la guerre ».

Et si, par un hasard qui ne pourrait être que curieux (il l’est très souvent !), Vladimir POUTINE avait, parmi ses livres de chevet… ce fameux traité de « l’ami Sun » ?

Puisque nous sommes en pleine supposition… et si « l’ami Vlad » avait particulièrement retenu cette phrase de Sun TZU ? « Le bon général a gagné la bataille avant de l’engager ». Vérifions ensemble, si cette supposée supposition est supposable… supposément :

  • L’OTAN et ses alliés ne cessent d’accuser la Fédération de Russie de brandir la menace de l’usage de l’arme nucléaire sur le champ de bataille ukrainien.
  • Vladimir POUTINE a rappelé la doctrine de la Fédération de Russie en matière de frappe de représailles, donc de riposte russe, en réponse à une frappe préemptive occidentale.
  • L’Angleterre s’est engagée à fournir des obus à uranium appauvri destinés à l’artillerie ukrainienne.
  • La commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité (CRIIRAD), lanceur d’alerte français bien connu, vient de rappeler les dangers de l’uranium appauvri.
  • Les États-Unis d’Amérique et les Britanniques ont déjà largement utilisé ce type d’armes lors de précédentes guerres. les conséquences sanitaires commencent à se faire jour et elles sont terribles.
  • La Russie a annoncé transférer des armes nucléaires en Biélorussie : « En réalité, nous sommes en train de faire tout ce que les États-Unis font depuis des décennies».
  • Un missile hypersonique, à charge conventionnelle, a été employé avec succès, pour détruire une cible militaire, particulièrement difficile à détruire.

Maintenant, en connaissance de tous ces faits, livrons-nous à un raisonnement simple :

Les USA savent parfaitement qu’ils ont perdu la guerre d’Ukraine et ne veulent toujours pas l’admettre. En conséquence, ils sont prêts, comme à leur habitude, à employer un « proxy », en l’occurrence, les Anglais, pour un début d’escalade nucléaire.

L’objectif étant de « pousser à la faute » les Russes, qui « logiquement devraient » riposter, en déclenchant une frappe nucléaire.

Les stratèges russes connaissant le mode de raisonnement politico-militaire américain, se sont dotés par avance, d’une « arme intermédiaire » entre l’armement conventionnel et le nucléaire… au cas où ils auraient à faire la guerre aux usa… ce qui est, de fait, le cas en Ukraine.

Autrement dit, les missiles hypersoniques russes sont un nouvel échelon dans l’escalade, sans nécessité de passer immédiatement au nucléaire.

Avec cette attaque , « l’ami Vlad » a clairement dit à « l’ami Joe » : « Tu vois que j’ai la supériorité militaire sur tous les vecteurs. Tu te calmes et on discute. Si tu persistes dans l’escalade, directement ou par proxy, comprends que c’est toi qui porteras ouvertement aux yeux du monde, la responsabilité de l’escalade nucléaire et de ses conséquences ».

En étudiant attentivement la politique suivie par Vladimir POUTINE, depuis son accession à la tête de la Fédération de Russie, le 7 mai 2012, nous constatons qu’il a appliqué avec brio : « Si tu veux la paix, prépare la guerre ».

De plus, c’est en parfaite connaissance de cause : « Le bon général a gagné la bataille avant de l’engager »… qu’il a lancé l’opération militaire spéciale, le 24 février 2022.

 

CE QU’EN PENSE ALEX ANDRIN

Que ce soient des Romains ou des anciens chinois,
Il y a eu des chefs, experts en stratégie,
Pour contrer des pays, toujours sans foi ni loi,
Et ainsi d’éviter qu’advienne une tragédie.
Il semble qu’aujourd’hui, l’histoire se répète,
Et que nous allons bien, surmonter la tempête.

Soyez forts, persistez. Je vous aime et vous salue.