Introduction.

Ce début d’année est propice à un tour d’horizon relatif à ce qu’il s’est passé dans le monde depuis ces trois dernières années. C’est aussi le meilleur moment pour nous projeter vers ce qui nous attend, afin d’aborder avec recul et sérénité, les moments « compliqués » qui sont devant nous.

Je vais avec vous, développer une analyse qui reprend des éléments que j’ai publiés, sur ce blog et surtout dans les « Rendez-vous d’Hubert », tout au long de ces trois années. C’est pourquoi, contrairement à mon l’habitude, je ne mets pas de liens vers mes sources.

Pour conserver un format de lecture « digeste »… en cette période de libations quelque peu excessives, ce travail s’articule en deux grandes parties.

Aujourd’hui, nous revenons sur l’épisode « Corona-bracadabrantesque » de ces trois dernières années. Prenant du recul, nous situons ce « détail de l’histoire » dans le cadre plus général d’une stratégie plus globale de « changement de monde ».

Demain, nous aborderons le « monde de demain » et nous livrerons modestement, à des anticipations d’évènements probables pour les mois et années à venir.

 

Une pseudocrise sanitaire…

Le temps est toujours le serviteur de la vérité. Nous avons maintenant un recul raisonnable et de nombreuses analyses étayées, pour qualifier ce qui nous est arrivé. Une opération coordonnée au niveau mondial : de dépopulation, de privation de libertés élémentaires et de tentatives de contrôle numérique de l’humain a été planifiée et partiellement exécutée à ce jour.

Pseudocrise sanitaire, car les dirigeants de la quasi-totalité des « grands pays » de la planète ont fait accroire à leurs populations, l’existence d’un très grand péril. Propagé par leur servile « armée médiatique », c’est le scénario d’une pandémie mondiale, due à un virus nouveau, inconnu et souvent mortel.

Une fois discrédités et écartés des médicaments existants, pourtant réputés efficaces (hydroxychloroquine, ivermectine), une campagne mondiale sans précédent, d’incitation, voire d’obligation, de se soumettre à des « injections salvatrices » est, là encore, parfaitement coordonnée. Le prétexte de « l’urgence sanitaire » permet à quelques grands laboratoires pharmaceutiques « d’inonder » le monde de produits, utilisant une « technologie » totalement nouvelle (ARNm)… qu’ils déclarent sûre et efficace.

Dans tous les pays, des effets secondaires de plus en plus nombreux et graves (jusqu’à entrainer la mort) surviennent… proportionnellement au degré « d’injections » des populations. Ces données sont délibérément cachées et minimisées par les autorités sanitaires et politiques, là encore, de tous les pays.

Curieusement, car s’agissant de produits expérimentaux, aucun suivit des personnes « injectées » n’est organisé. Pire, l’inefficacité de leurs produits étant reconnue par leurs fabricants, il est décidé et aussitôt organisé… de régulières « séances de rattrapage ». Tout cela pour obtenir une immunité, dont il est établi qu’elle est inférieure à notre immunité naturelle 😥

Au plus haut niveau de l’état, il a été affirmé : « On peut discuter de tout, sauf des chiffres »oui, mais, excepté quand les données brutes ont été « manipulées »!!! Par exemple, la non-utilisation, spécifiquement pour 2020, de la méthode habituelle et classique de comptage du « nombre de décès standardisé par âge » (TMS). Voici quelques chiffres réels, relatifs à l’année 2020 :

L’hécatombe due au Covid :

  • C’est la sixième année la moins mortelle de toute l’histoire de France. Il n’y a que quelques endroits en France ou on observe un pic de mortalité.
  • En Suède, en Islande, au Danemark et en Irlande, c’est le record historique de sous mortalité.
  • En Allemagne, en Finlande et en Norvège, c’est historiquement la 2è année la moins mortelle.
  • Pour les pays les plus touchés en termes de mortalité, c’est une année un peu forte pour la décennie, mais l’année la moins mortelle de toute leur histoire.

La saturation hospitalière due au Covid :

  • L’activité Covid à l’hôpital a représenté 2% de l’activité hospitalière totale.

Pour comprendre une autre manipulation, il faut observer les méthodes de comptage. Le croirez-vous ? En mars 2020 :

  • Pour les médecins de ville (réseau Sentinelles), a lieu un changement de définition des maladies. La grippe disparait au profit des « infections respiratoires aigües »… dans laquelle est classé le Covid.
  • Pour les hôpitaux, c’est l’OMS qui fixe la codification des maladies. Là aussi, naissance d’un nouveau code « maladie respiratoire a coronavirus Covid 19 ». Autrement dit, c’est un transfert de codification des maladies. Nous assistons à la disparition de : la grippe, la bronchiolite, la pneumonie, la pleurésie, l’œdème pulmonaire… là encore, « au profit » du covid 19.

Pour illustrer ce qui s’apparente à une véritable machination, élaborée par les dirigeants politiques, les laboratoires pharmaceutiques et une partie du monde médical, le sujet des tests est « un cas d’école » :

  • Pour les personnes « injectées », la consigne était « vous êtes maintenant protégés, il est inutile de vous tester ».
  • Pour les « résistants », mise en place de mesures discriminatoires d’accès à de multiples lieux, c’est-à-dire une quasi-obligation de faire de nombreux tests, pour jouir d’une vie « normale ».

Le nombre de tests et donc l’occurrence de tests positifs touchant majoritairement des personnes « non injectées », il était alors facile de proclamer , haut et fort : vous voyez bien que les « injections » sont efficaces puisque « les cas positifs » sont majoritairement chez les personnes « non injectées ». C’est malin, non ? C’est tellement simple que, parfaitement relayé par les « merdias de grand chemin » … ça a marché !!!

Tout cela, sans même parler de « l’efficacité des tests » pour détecter le fameux « Corona-manipulus ». Vous avez aussi remarqué que l’on ne parle pas de malades ou bien d’hospitalisations, mais « de cas ». Cas de quoi, exactement ?

Maintenant que la crédibilité du « public cible » commence à significativement diminuer, il faut continuer à entretenir la peur. C’est l’apparition de la « variole du singe »… qui fait un véritable « flop ».

Du coup, il faut absolument trouver un autre sujet pour « injecter , injecter, injecter ». Et c’est la miraculeuse réapparition de la rougeole… et du papillomavirus humain. Il faut absolument « injecter » tous les enfants qui ont « échappés » aux campagnes précédentes !!! Mais « injecter » quoi exactement ?

Là encore, de nombreuses études montrent de bien curieux composants, qui, pour certains, ont des effets électromagnétiques inédits pour ce type de « médicament ». Effets qui, encore plus curieux, permettent « un dialogue » avec des équipements électroniques distants de la personne « injectée ». Vous avez dit bizarre, comme c’est étrange !!!

Tout cela relèverait de la « Commedia dell’ Arte », si tant de personnes ne souffraient ou ne mouraient pas. Ne pensez-vous pas qu’il est temps de dire STOP à tout ce cirque et de reprendre fermement nos vies en main ? Les récentes révélations de la collusion entre les gouvernements, les laboratoires pharmaceutiques et les réseaux dits sociaux vont grandement nous aider. Le « grand ménage » fait par Elon MUSK, nouveau propriétaire du réseau Tweeter, n’est qu’un début.

 

Dans une stratégie plus globale.

Il nous faudrait remonter le temps jusqu’en l’an de grâce 1214 et plus précisément, à la bataille de Bouvines, pour être plus complet sur ce sujet. Comme ce n’est pas le but du présent document, je commencerais donc « l’histoire » en 1945. Bien joué, « l’ami Hubert », tu viens de gagner plus de 700 années d’explications ☺.

Le « Covid 19 » n’est qu’une forme de la guerre que mène l’oligarchie financière mondialiste apatride (OFMA) depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, contre les peuples, en désorganisant l’économie réelle. C’est un fait historique, la prédation est son modèle économique.

Les accords de Bretton Woods en 1944 établissent un nouveau système monétaire mondial en plaçant le Dollar au rang de « monnaie du monde ». Lui seul est convertible en or, les autres monnaies n’étant convertibles qu’en dollar.

En 1947, le « Plan Marshall », s’il a contribué à la reconstruction d’une partie de l’Europe… permet aussi de créer un « pouvoir d’achat captif » en Europe, pour écouler la surproduction de « firmes » américaines telles que Coca-Cola, Ford, IBM, etc.

Quand l’Europe a eu un potentiel de production plus important, elle est devenue une rivale pour les États-Unis d’Amérique. Il était à leurs yeux, « vital » de la contrôler, l’affaiblir, voire de la détruire. Il leur fallait éviter que le potentiel économique européen aille vers la Russie et la Chine.

En 1970, la fin de la séparation des activités bancaires (dépôts et investissements) marque le contrôle de la finance sur l’appareil d’état. D’abord aux USA, puis plus tard, en France. La création de l’Europe par des agents de la CIA, puis de l’euro, bâti autour du mark, permet l’expansion de l’économie allemande au détriment de la France et de l’Italie. Les deux tiers des exportations de l’Allemagne se font en Europe… grâce à l’énergie peu chère, venant de « l’ennemi Russe ». L’Allemagne devenant « dangereuse » aux yeux de l’oligarchie financière américaine, la destruction des « tuyaux Nord Stream 1 et 2 » est planifiée puis exécutée… très vraisemblablement, par la Grande-Bretagne (alliée de circonstance).

Le monde, et c’est notre chance, est en proie à une lutte à mort entre plusieurs oligarchies mondialistes. Pour simplifier : la nationaliste, incarnée entre autres, par Vladimir poutine, Donald TRUMP, Xi Jinping… et l’apatride, incarnée entre autres, par la City et Wall Street. À ce jour, aux USA, c’est l’oligarchie apatride US qui « a gagné » une bataille, avec le complot qui a privé « le canard » de sa réélection.

Après la Seconde Guerre mondiale, le Japon a « rattrapé » les USA et est devenu un rival. Ils ont obligé le Japon à réévaluer sa monnaie, afin de gêner ses exportations.

Le mode opératoire étasunien est la piraterie et la conquête du Far West, autrement dit, étendre en permanence son influence économique et politique, avec l’utilisation, notamment des lois extraterritoriales permettant les « sanctions » à l’égard des « gêneurs ».

Demain nous verrons la suite de cette passionnante histoire de notre monde. D’ici là, chers lecteurs, prenez grand soin de vous. Je vous aime et vous salue.