Introduction.

Chers lecteurs, nous vivons une époque pleine de promesses, celle du dévoilement. En observant la confusion qui règne dans tous les domaines, nous constatons que « les masques tombent » et que la Vérité se fait jour. C’est une excellente nouvelle qui nous incite à prendre en main notre destin.

Je n’ai aucunement la prétention d’égaler le génie de Pierre DAC et de ses petites annonces, parues dans la revue « L’os à moelle » pendant la Seconde Guerre mondiale. Travaillant toujours aussi sérieusement, mais sans me prendre au sérieux, je vous propose d’aborder l’actualité économicopolitique et patrimoniale, de façon plus… légère.

La petite annonce du jour :

« URGENT :  recherche personnes possédant bons sens et logique. Profil paysan souhaité. Énarques s’abstenir. Faire offre Palais de Matignon. »     

Dans le cadre de la réforme des retraites, notre cher ministre de l’Intérieur, Gérald DARMANIN, a récemment déclaré à France Info :

  • « Il est évident que les agents du ministère de l’Intérieur seront concernés pour travailler comme tous les Français un peu plus. J’en suis un partisan.
  • Il n’est pas question que les policiers, les gendarmes, les pompiers, fassent autrement que le reste des Français».

Serait-ce le début d’une égalité de traitement entre les policiers, les gendarmes et les pompiers ? Pourquoi cette question, me demanderez-vous. Simplement parce que pour l’obligation des « injections », le traitement n’a pas été le même pour ces trois corps.

  • Les gendarmes, qui sont des militaires, ont été obligatoirement « piquousés », comme tous les autres militaires de l’armée française.
  • Les policiers, municipaux et nationaux, n’ont pas été soumis à « l’obligation piquousarde».
  • Les sapeurs-pompiers (volontaires, professionnels et militaires) ont tous eu droit à « obliga-picousus»

Alors, j’essaie de comprendre la logique gouvernementale. Il doit certainement y en avoir une… ou plus, si affinité ☺.

  • Les activités de tous les sapeurs-pompiers présentent des risques « Coronavidesques» identiques. Aussi bien pour eux que pour les populations qu’ils sont amenés à côtoyer professionnellement.
  • Ce sont de bonnes raisons. Pour des raisons seulement connues par les complotistes, il faut leur appliquer une « obliga-picousus» !!!
  • Les activités de tous les policiers et gendarmes présentent des risques « Coronavidesques» identiques. Aussi bien pour eux que pour les populations qu’ils sont amenés à côtoyer professionnellement.
  • Ce sont de bonnes raisons. Pour des raisons seulement connues des membres du conseil scientifique, il ne faut surtout pas leur appliquer une « obliga-picousus»… sauf aux gendarmes !!!
  • Pour de bonnes raisons. Pour des raisons seulement connues des membres du conseil scientifique, tous les militaires sont soumis à « obliga-picousus » : armée, pompiers militaires (Paris et Marseille) et gendarmes.
  • Oui, mais ils n’ont pas le même type d’activité en termes de risques sanitaires. Aussi bien pour eux que pour les populations qu’ils sont amenés à côtoyer professionnellement.

J’y perds mon latin, mon français, mon español. Pourtant il y a certainement une « logique » dans toutes ces décisions « scientifico politiques ». À moins que, comme le racontait si bien Fernand RAYNAUD : « Ce soit étudié pour » !!!

Ayant beaucoup appris de l’épisode « Corona-entourloupus », nos « Z’élites » dirigeantes envisagent maintenant, de prendre des décisions identiques, en matière de retraite, pour les policiers, gendarmes et pompiers.

Pas si sûr. Les sapeurs-pompiers de Paris et de Marseille sont des militaires et donc, dépendent du ministre des armées et pas de « l’ami Gégé » !!! Haaaaa, voilà le cauchemar qui recommence ☹ ☹ ☹.

Le Général de Gaulle avait bien raison : « Comment voulez-vous gouverner un pays où il existe deux cent cinquante-huit variétés de fromages ? ».

Chers lecteurs, policiers, sapeurs-pompiers, militaires… ou pas, je vous aime et vous salue.