Restons simples, appelez-moi James !

26 Nov, 2022 | 0 commentaires

µ Le rire de la semaine :

Les cinéphiles ont immédiatement reconnu « l’île de James BOND ». De son véritable nom Koh Phing Kan, cette île est devenue célèbre dans le monde entier, grâce à son îlot nommé Koh Tapu. Sa forme tout à fait remarquable a été utilisée pour servir de décor à certaines scènes du film « L’homme au pistolet d’or ».  Bien qu’il ne soit pas considéré comme le meilleur de la saga, l’agent secret le plus connu de sa majesté la reine d’Angleterre, y apparait, comme toujours, en héros invincible.

C’est le genre d’ambition que doit avoir notre cher « Jupiter », mais… alors que l’agent 007 réalise des cascades les plus folles, notre « Manu 1er » n’en est qu’à ses débuts.

À l’occasion d’une visite faite à l’équipage du sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE) « Le terrible », soudainement pris d’un accès de « Bond-mania » aigu, il a décidé de marquer les esprits. Quoi de mieux que de se faire déposer sur le bâtiment… par un hélicoptère ?

Sitôt pensé, sitôt réalisé. Il est comme ça notre président, toujours prêt à payer de sa personne. Le voilà donc embarqué dans un hélicoptère de la marine nationale, jusqu’à la verticale du sous-marin. Il est utile de préciser que celui-ci était en surface… « Jupi » n’est pas encore James !!!

Après cet hélitreuillage présidentiel, réussi, les pieds bien au sec sur le bâtiment, encore habité par son personnage, il déclare :  « Mon nom est Bon. Jean Bon » !!! Effectivement, il pourrait changer de métier pour faire… comique, il a des dispositions ☺.

« Si un clown entre dans un palais, il ne devient pas roi, c’est le palais qui devient un cirque »

(Proverbe ottoman)

Chers lecteurs, merci de m’avoir accompagné dans ce moment de détente. Je vous aime et vous salue.

Mots clés : Humour

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

LETTRE D’INFORMATION


DERNIERS BILLETS MIS EN LIGNE


Certificats d’économie d’énergie : vous avez dit économie ?

Certificats d’économie d’énergie : vous avez dit économie ?

Le dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE), créé en 2005 pour inciter à la maîtrise de la consommation énergétique, est dénoncé comme complexe, opaque et coûteux. La Cour des comptes juge ses résultats difficiles à mesurer et entachés d’un fort effet d’aubaine. Financé hors budget de l’État, son coût — environ 5,3 milliards d’euros par an — est répercuté sur les factures des ménages et des entreprises. Ce mécanisme ferait ainsi peser directement sur les consommateurs le financement de la politique énergétique.

Laizinjeccions : on peut débattre de tout, sauf des chiffres !

Laizinjeccions : on peut débattre de tout, sauf des chiffres !

Une étude de l’AIMSIB analysant les données officielles de 28 pays européens pour explorer les corrélations entre mortalité toutes causes confondues et injections anti-Covid. Les auteurs y affirment que les corrélations positives…

Banques et assurances françaises ? Tout va bien !

Banques et assurances françaises ? Tout va bien !

Le système bancaire français reste globalement solide fin 2024, malgré une légère hausse du risque de crédit, surtout pour les PME et la consommation. Les assureurs affichent une collecte en hausse et un marché en croissance, mais leur ratio de solvabilité recule et leurs placements, très majoritairement en valeurs mobilières, interrogent sur leur résilience réelle.

Le changement climatique n’est pas catastrophique. Si c’est Bill qui le dit !

Le changement climatique n’est pas catastrophique. Si c’est Bill qui le dit !

évolution des discours sur le changement climatique : certains dirigeants comme António Guterres appellent toujours à agir, tandis que d’autres figures – Ted Nordhaus, Bill Gates ou certains rapports scientifiques récents – nuancent ou revoient leurs positions sur l’impact du CO₂ et les scénarios catastrophistes. Le texte s’interroge enfin sur les enjeux économiques liés aux marchés du carbone et appelle à passer à l’action.

Énergie électrique : entre volonté politique et effets secondaires !

Énergie électrique : entre volonté politique et effets secondaires !

La transition électrique portée par des choix politiques dissimule des coûts réels : dépendance au lithium, extraction polluante, recyclage des batteries et enjeux géopolitiques. Le succès écologique affiché du véhicule électrique cache des externalités stratégiques et environnementales majeures.

SOCIAL