Introduction.

Chers lecteurs, nous vivons une époque pleine de promesses, celle du dévoilement. En observant la confusion qui règne dans tous les domaines, nous constatons que « les masques tombent » et que la Vérité se fait jour. C’est une excellente nouvelle qui nous incite à prendre en main notre destin.

Je n’ai aucunement la prétention d’égaler le génie de Pierre DAC et de ses petites annonces, parues dans la revue « L’os à moelle » pendant la Seconde Guerre mondiale. Travaillant toujours aussi sérieusement, mais sans me prendre au sérieux, je vous propose d’aborder l’actualité économicopolitique et patrimoniale, de façon plus… légère.

 

La petite annonce du jour :

« Recherche volontaires pour injection de produits douteux. Faire offre au ministère de la Santé ».

C’était au siècle dernier, précisément le 16 février 1984. Le comité français d’éducation pour la santé (CFES), placé sous la tutelle du ministère de la Santé, lançait une campagne contre l’alcool au volant, particulièrement remarquée. Le message est drôle et percutant : « Un verre, ça va, trois verres, bonjour les dégâts ».

Dans le cadre de « la commission spéciale Covid-19 » organisée par le Parlement européen, les représentants de l’industrie pharmaceutique qui ont travaillé sur le développement des « vaccins » ont été auditionnés. Le 10 octobre dernier, le PDG de Pfizer, Albert BOURLA s’est fait représenter au dernier moment par Janine SMALL, présidente régionale de Pfizer, responsable du développement des marchés internationaux.

Cette audition s’est révélée décevante puisqu’en dépit des demandes compréhensibles et légitimes des parlementaires européens, Janine Small a invoqué le « droit à la confidentialité pour raison de concurrence », afin de justifier son absence de réponses aux questions soulevées. Cette façon d’esquiver « les questions qui fâchent » a particulièrement énervé les eurodéputés, dont le Néerlandais Rob ROOS.

Puisque le temps de parole était limité, il a été direct dans sa question à la représentante de Pfizer : « Le vaccin Pfizer Covid a-t-il été testé pour arrêter la transmission du virus avant son entrée sur le marché ? Si ce n’est pas le cas, dites-le clairement. Si oui, êtes-vous prêt à partager les données avec ce comité ? Et je veux une réponse franche, oui ou non ».

Le croirez-vous ? Elle a répondu aussi brièvement que nettement : « au sujet de la question de savoir si nous savions ou non si le vaccin arrêtait la transmission lors de sa mise sur le marché, la réponse est non. Nous avons avancé à la même vitesse que la science ». Voici la question et la réponse, sous-titrées en français.

Comme le disent les athées : « la messe est dite !!! ». Le laboratoire Pfizer a « inondé » le monde et particulièrement l’Union européenne avec un « produit » dont il n’a pas testé l’efficacité concernant l’arrêt de la transmission du virus !!!

Et c’est cette tromperie qui a été relayée par le monde politique en sa grande majorité, ainsi que par des personnes qui n’ont de « médecins » que le nom !!!

Cette révélation fait suite aux graves dysfonctionnements relevés dans un rapport de la Cour des comptes européenne, pour ce qui est du marché passé par Ursula Von der LEYEN, avec le laboratoire Pfizer.

Quatre jours plus tard, le bureau du procureur général européen, dont la mission est de garantir les intérêts financiers de l’Union européenne, a ouvert une enquête sur les contrats d’achat des vaccins. Affaire à suivre.

Tous vaccinés, tous protégés ? Que répondre à la prochaine « aimable invitation » pour se faire injecter ces « produits » ? C’est vous qui voyez ☺.

« Les grands hommes appellent honte le fait de perdre et non celui de tromper pour gagner »

(Nicolas Machiavel)

Chers lecteurs, avides de vérité, je vous aime et vous salue.