L’immobilier de bureaux.

16 Sep, 2022 | 0 commentaires

Introduction.

Chers lecteurs, nous vivons une époque pleine de promesses, celle du dévoilement. En observant la confusion qui règne dans tous les domaines, nous constatons que « les masques tombent » et que la Vérité se fait jour. C’est une excellente nouvelle qui nous incite à prendre en main notre destin.

Je n’ai aucunement la prétention d’égaler le génie de Pierre DAC et de ses petites annonces, parues dans la revue « L’os à moelle » pendant la Seconde Guerre mondiale. Travaillant toujours aussi sérieusement, mais sans me prendre au sérieux, je vous propose d’aborder l’actualité économicopolitique et patrimoniale, de façon plus… légère.

 

µ La petite annonce du jour :

« Recherche terrain pour construction du futur siège de l’ONU. États-Unis d’Amérique, s’abstenir.

Faire une offre à Vladimir POUTINE, poste restante, le Kremlin ».

Nous avons tous déjà entendu parler de l’Organisation des Nations unies (ONU) dont le siège est à New York. En pleine seconde guerre mondiale, le 20 octobre 1943, l’Union soviétique, le Royaume-Uni, les États-Unis et la Chine affirment, dans une déclaration signée à Moscou, la nécessité d’établir, aussitôt que possible, une organisation internationale fondée sur le principe de l’égalité souveraine entre tous les États pacifiques. Ces quatre pays préconisent la création d’une organisation internationale chargée du maintien de la paix et de la sécurité.

Le 26 juin 1945 à San Francisco, est signée la Charte de l’ONU, par la Chine, les États-Unis , la France, le Royaume-Uni, l’URSS et la majorité des 46 autres pays signataires. Elle marque l’existence officielle de l’Organisation des Nations unies.

Le quartier général de l’organisation est situé à New York, à l’angle de la 1Street avenue et de la 42nd Street, en bordure de l’East River. Deux points peu connus retiennent mon attention :

  • Lors du choix de l’Amérique et de New York, le gouvernement américain s’était engagé à recevoir les délégations de chaque État membre, quelles que soient ses relations avec lui.
  • Le territoire sur lequel est édifié le siège de l’ONU est considéré comme un territoire international. Les lois américaines ne s’y appliquent pas, mais…

Le principe aberrant de « l’extra-territorialité » des lois américaines est illégal sur le plan du droit international, ce qui ne prive pas les USA d’en user et abuser. Si l’on y ajoute les « sanctions »…

Récemment, la Russie a demandé 56 visas aux États-Unis pour permettre au ministre russe des Affaires étrangères, Sergei Lavrov, et à sa délégation de se rendre au rassemblement annuel des dirigeants mondiaux à l’ONU, ce mois-ci. Il n’en a reçu aucun jusqu’à présent !!!

C’est la raison pour laquelle, la Fédération de Russie propose de déplacer le siège de cette docte assemblée… vers un autre pays qui, lui, respecterait les obligations d’un État hôte de l’Organisation. Connaissez-vous un volontaire ? Ce « détail de l’histoire » ne doit pas nous faire oublier que c’est à chacun de nous qu’il appartient de s’engager pour que le mot « droit » soit une réalité juridique « non élastique ».

« Vous pouvez tromper quelques personnes tout le temps.

Vous pouvez tromper tout le monde un certain temps.

Mais vous ne pouvez tromper tout le monde tout le temps »

(Abraham Lincoln)

 

Chers lecteurs, je vous aime et vous salue.

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

LETTRE D’INFORMATION


DERNIERS BILLETS MIS EN LIGNE


Certificats d’économie d’énergie : vous avez dit économie ?

Certificats d’économie d’énergie : vous avez dit économie ?

Le dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE), créé en 2005 pour inciter à la maîtrise de la consommation énergétique, est dénoncé comme complexe, opaque et coûteux. La Cour des comptes juge ses résultats difficiles à mesurer et entachés d’un fort effet d’aubaine. Financé hors budget de l’État, son coût — environ 5,3 milliards d’euros par an — est répercuté sur les factures des ménages et des entreprises. Ce mécanisme ferait ainsi peser directement sur les consommateurs le financement de la politique énergétique.

Laizinjeccions : on peut débattre de tout, sauf des chiffres !

Laizinjeccions : on peut débattre de tout, sauf des chiffres !

Une étude de l’AIMSIB analysant les données officielles de 28 pays européens pour explorer les corrélations entre mortalité toutes causes confondues et injections anti-Covid. Les auteurs y affirment que les corrélations positives…

Banques et assurances françaises ? Tout va bien !

Banques et assurances françaises ? Tout va bien !

Le système bancaire français reste globalement solide fin 2024, malgré une légère hausse du risque de crédit, surtout pour les PME et la consommation. Les assureurs affichent une collecte en hausse et un marché en croissance, mais leur ratio de solvabilité recule et leurs placements, très majoritairement en valeurs mobilières, interrogent sur leur résilience réelle.

Le changement climatique n’est pas catastrophique. Si c’est Bill qui le dit !

Le changement climatique n’est pas catastrophique. Si c’est Bill qui le dit !

évolution des discours sur le changement climatique : certains dirigeants comme António Guterres appellent toujours à agir, tandis que d’autres figures – Ted Nordhaus, Bill Gates ou certains rapports scientifiques récents – nuancent ou revoient leurs positions sur l’impact du CO₂ et les scénarios catastrophistes. Le texte s’interroge enfin sur les enjeux économiques liés aux marchés du carbone et appelle à passer à l’action.

Énergie électrique : entre volonté politique et effets secondaires !

Énergie électrique : entre volonté politique et effets secondaires !

La transition électrique portée par des choix politiques dissimule des coûts réels : dépendance au lithium, extraction polluante, recyclage des batteries et enjeux géopolitiques. Le succès écologique affiché du véhicule électrique cache des externalités stratégiques et environnementales majeures.

SOCIAL