Introduction

 

Particulièrement recommandée en cette époque de « Corona-déstructuribus », la musique a beaucoup d’effets bénéfiques sur la nature, les animaux, mais aussi sur les humains. Qu’on l’écoute ou la pratique, en solo ou en groupe, celle-ci nous fait incontestablement du bien.

La musique suit le cours de notre existence et accompagne la plupart de nos rituels et cela ne date pas d’hier. Des flutes fabriquées dans de l’os, vieilles de 35 000 ans, ont été exhumées lors de fouilles archéologiques.

L’univers est un immense orchestre, car tout ce qui existe produit un son, que nous le percevions consciemment ou pas. Même les étoiles chantent. La musique a la capacité de nous entrainer dans sa danse et d’agir sur tout notre corps. Elle nous rappelle que nous avons « d’autres dimensions » et que nous sommes tous reliés « au grand tout ».

 

Musique du jour

Nous allons ensemble aujourd’hui nous faire énormément de bien … avec un canon !!! Pas boire un canon, mais écouter un canon célébrissime : celui d’un compositeur et organiste allemand de la période baroque : Johann PACHELBEL.

Il est né en 1653 à Nuremberg, dans une famille de classe moyenne. Sa date de naissance exacte est inconnue, mais nous savons qu’il fut baptisé le 1er septembre 1653. Après des études musicales, il occupe successivement des postes d’organiste et de professeur en Autriche et dans plusieurs villes d’Allemagne centrale et méridionale. « L’ami Johann » a été marié à deux reprises. Il meurt à Nuremberg le 3 mars 1706.

Il est connu pour ses nombreuses pièces d’orgue et, surtout, pour ce fameux « canon et gigue en ré majeur pour 3 violons et basse continue ». Celui-ci fait partie d’une pièce de musique de chambre baroque, composée vers 1680 en deux mouvements : un canon et une gigue. L’œuvre entière est concentrée dans ces deux mesures jouées 28 fois :

L’existence de nos « mercredis musicaux » est de vous faire découvrir les effets bénéfiques de certaines vibrations et donc de la musique. Aujourd’hui, le «La » du diapason est accordé sur une fréquence de 440 Hz (Hz).  Cela n’a pas toujours été le cas. Depuis 1884 jusqu’à avant 1939, le « La » était à 432 Hz.

Saviez-vous que lorsqu’on accorde une musique en 432 Hz, le «Do » sonne à 256 Hz ce qui concorde … avec la fréquence de la résonnance permettant l’activation chlorophyllienne des plantes. Surprenant, non ? La note « Sol » possède une fréquence de 384 Hz correspondant ainsi très exactement à celle de l’oxygène.

Il a été découvert scientifiquement que le « canon de Pachelbel » à la particularité d’avoir huit notes correspondant exactement aux fréquences d’activité des huit acides aminés primordiaux chez l’homme. On sait aujourd’hui que chaque acide aminé possède sa propre fréquence qui se fixe en oscillation dans la cellule.

Les acides aminés s’assemblent pour créer des molécules plus grandes : les protéines. Chaque acide aminé émet une onde caractéristique. On les appelle les ondes d’échelles en physique quantique, car elles sont liées aux différentes échelles d’observation. C’est le docteur en physique Joël STERNHEIMER qui a fait la découverte de ces ondes d’échelle concernant les particules élémentaires.

Faites-vous le plus grand bien en passant 4 minutes et 40 secondes en compagnie de l’ensemble de musique ancienne Voices of Music, sur des instruments originaux de l’époque de Pachelbel.

Puisse cette musique, vous apporter plus de sérénité. Je vous aime et vous salue.