Introduction

Chers lecteurs, sachez que je ne cherche pas à vous faire peur, mais simplement à vous préparer. C’est en sachant les choses que vous pourrez mieux les gérer. Est-ce du pessimiste ? Non, simplement un travail de lanceur d’alerte réaliste. Depuis 2012 sur ce blog, j’ai pour ambition de vous aider à éveiller votre pleine conscience des choses, avec amour et bienveillance.

Ne croyez personne sur une simple déclaration ou un écrit, les miens y compris. VÉ RI FIEZ. Soyez curieux, doutez, lisez les positions contraires afin d’avoir un avis largement éclairé. Vous pourrez alors agir au mieux sur votre patrimoine, avant tout humain, mais aussi matériel.

Ce blog traitant l’écume des choses, si vous êtes prêts à regarder en face une réalité, parfois dérangeante, mais toujours porteuse d’espoir, abonnez-vous aux « Rendez-vous d’Hubert ». En plus de bénéficier de solutions pratiques pour traverser avec profit la période compliquée actuelle, ce sera votre manière de m’aider très concrètement, à poursuivre mon travail et améliorer sa qualité.

 

Sujet du jour : Les sportifs aussi sont victimes de la « piquouse ».

Connaissez-vous la devise olympique officielle ? J’avoue humblement qu’avant la rédaction de ce billet… je ne la connaissais pas ☹. Elle se compose des trois mots latins : Citius – Altius – Fortius. Ce qui donne, en bon français : Plus vite – Plus haut – Plus fort.

C’est le prêtre dominicain Henri DIDON qui est le premier à exprimer ces mots lors de la cérémonie d’ouverture d’une épreuve sportive scolaire en 1881. Pierre de COUBERTIN, présent ce jour-là, les adopte pour en faire la devise olympique. Il estime qu’ils expriment les aspirations du Mouvement olympique non seulement dans son sens sportif et technique, mais aussi d’un point de vue moral et éducatif.

À l’occasion des derniers Jeux olympiques de Tokyo en juillet 2021, le comité international olympique (CIO) a modifié cette devise qui est maintenant : « Plus vite, plus haut, plus fort – Ensemble ».

Le joueur de tennis français Jérémy CHARDY a annoncé fin septembre dernier, devoir arrêter sa saison, sans savoir quand il pourra reprendre du fait des effets secondaires de la « piquouse anti Covid » qu’il avait reçue entre les Jeux olympiques et l’US Open.

Il n’y a pas que le tennis qui est touché. Stéphanie GARD est la troisième athlète équestre d’Australie à être victime de graves effets secondaires, à la suite des « injections » des produits de Pfizer.

Encore ont-ils « beaucoup de chance » par rapport à leurs nombreux collègues sportifs de haut niveau qui sont décédés d’arrêt cardiaque soudain, peu de temps après leur « piqure salvatrice ». Évidemment nos chers « merdias de grand chemin » n’ont pas fait leur Une avec ce type de « détail » !!!

Ici, c’est un internaute qui recense méthodiquement les « incidents de santé des sportifs ». Là, c’est un avocat qui poursuit la même démarche. Là encore, un collectif qui liste méthodiquement les cas suspects.

Il y aura bien un moment où il faudra enquêter scientifiquement et non politiquement sur les causes de ces « incidents », faute de quoi, le quatrième mot de la devise olympique sera vide de sens… du fait du manque de sportifs de haut niveau en bonne santé !!!

« Je ne m’en irai pas en silence. Je ne me soumettrai pas. Je ne me retournerai pas. Je ne me conformerai pas.

Je ne me coucherai pas. Je ne me tairai pas. Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire :

Ce n’est pas de subir la loi du mensonge triomphant »

(Jean Jaurès)

Chers lecteurs, sportifs ou pas, je vous aime et vous salue.