Nous connaissons tous cette ancienne expression française qui est tellement d’actualité. Prenons l’exemple du vaccin qui nous est proposé si aimablement par notre gouvernement.

Consensuel de nature et afin de ne froisser ni les provaccins, ni les antivacs… évidemment de peur de recevoir une pluie de fer à repasser défroisser, je me contente ici de partager avec vous quelques « Z’interrogations » du moment.

Nous avons d’un côté le laboratoire pharmaceutique, que dis-je qu’écris-je… deux laboratoires. Il en faut bien deux pour nous convaincre de leurs résultats de tests. Les laboratoires Pfizer et BioNTech se sont associés pour nous proposer une potion magique nous permettant de lutter efficacement contre le « Corona-confinus ». Un pareil défi, même si l’on se met à deux pour le relever, ne s’accompagne pas d’à peu près. Il s’agit quand même de sauver des gens !!!

Le Figaro nous annonce :

« Covid-19 : Pfizer/BioNTech annoncent une efficacité «de 100% » de leur vaccin chez les 12-15 ans – Selon les deux sociétés, les essais de phase 3 menés sur 2260 adolescents aux États-Unis ont démontré une efficacité de 100% ».

Le vaccin Pfizer/BioNTech, basé sur la technologie innovante de l’ARN messager, a été le premier vaccin contre le Covid-19 approuvé en Occident fin 2020. Les États-Unis et l’Union européenne ont tous deux autorisé son utilisation pour les personnes âgées de 16 ans et plus.

Une étude en conditions réelles portant sur 1,2 million de personnes en Israël a montré qu’il était efficace à 94%. Les enfants sont moins exposés aux cas graves de la maladie, tout en la transmettant moins pour les plus jeunes d’entre eux (moins de 10 ans). Leur vaccination n’a ainsi pas été une priorité pour le moment.

La semaine dernière, BioNTech et Pfizer ont lancé des études cliniques chez les enfants, sur un premier groupe âgé de 5 à 11 ans. Une cohorte plus jeune d’enfants âgés de 2 à 5 ans devrait recevoir sa première dose la semaine prochaine dans le cadre de l’étude qui couvrira également les enfants âgés de 6 mois à 2 ans. BioNTech a déclaré mardi 30 mars tabler sur la fabrication de 2,5 milliards de doses de son vaccin cette année, 25% de plus que prévu initialement ».

Je résume : ce fameux vaccin utilisant une technologie de pointe a déjà été administré avec succès pour des volontaires âgés de plus de 16 ans. Il y a 94% de satisfaits…

Dois-je en conclure que les 6% restant ne sont pas contents ? Que reprochent-ils à ce fleuron de la science ? Ils sont morts ? Ahhh pardon. Sincères condoléances ☹ ☹ ☹.

Du coup, pour être plus efficaces, nos deux compères ont lancé des études chez des enfants… volontaires, j’espère. (tais-toi et présente ton bras à la dame) répartis en trois groupes : 5 à 11 ans, 2 à 5 ans et 6 mois à 2 ans.

Mais dites-moi les gars, vous laissez encore de fameux trous dans la raquette !!! De la naissance à 6 mois, vous oubliez totalement cette tranche d’âge !!!

Oui, c’est vrai que vous nous précisez que « Les enfants sont moins exposés aux cas graves de la maladie, tout en la transmettant moins pour les plus jeunes d’entre eux ».

Quand même, si vous souhaitez que l’on vous prenne au sérieux, il faut aller plus loin !!! Appelez-moi le directeur scientifique !!! Comment, il n’est plus là ? Il n’est pas mort, j’espère ? Non… il n’a pas été vacciné… mais il est parti !!!

Je comprends mieux pourquoi en lisant… (pas dans le Figaro) !!! la traduction de l’entretien que celui-ci a donné fin mars dernier à America’s Frontline Doctors (AFLDS) :

« Je suis bien conscient des crimes contre l’humanité perpétrés à l’échelle globale contre une vaste proportion de la population mondiale.

Je n’ai absolument aucun doute quant au fait que nous sommes en présence de produits à la fois maléfiques (c’est un constat que je n’ai jamais fait à ce jour, en 40 ans de carrière de chercheur) et dangereux.

 Au Royaume-Uni, il est tout à fait clair que les autorités sont décidées à administrer des “vaccins” au plus grand nombre possible de personnes. C’est de la folie, car même si ces agents étaient légitimes, la protection n’est nécessaire que pour les personnes présentant un risque particulièrement élevé de mourir du virus.

Mais tous les autres, les personnes en bonne santé et âgées de moins de 60 ans, peut-être un peu plus, ne meurent pas du virus. Dans ce grand groupe, il est tout à fait contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et dont le potentiel d’effets indésirables après quelques mois n’est absolument pas identifié.

 Puisque je sais cela avec certitude, et que je sais que ceux qui pilotent tout cela le savent aussi, nous devons nous interroger : quel est leur mobile ? ».

Alors vraiment, je ne sais plus à quel saint me vouer après les déclarations de l’ex-directeur scientifique de Pfizer.

À propos de directeur, je vous invite à lire cette magnifique « Lettre ouverte aux professeurs » d’une directrice d’école à la retraite. Elle est frappée au coin du bon sens et tellement vraie.

« On ne peut pas dire la vérité à la télé : Il y a trop de monde qui regarde »

(Michel Colucci dit Coluche)

Chers lecteurs, je vous aime et vous salue.