Et si, dans les temps troublés que nous traversons, nous avions une pensée pour… les femmes ? Comme nous les hommes, le savons parfaitement, mais faisons mine de l’ignorer : derrière chaque grand homme, il y a une femme.

Et si, comme le chantait si justement le regretté Jean FERRATLa femme est l’avenir de l’homme ?

Savez-vous que les sociétés matriarcales ont non seulement précédé le système patriarcal, apparu seulement vers 4 000 – 3 000 ans avant notre ère, mais qu’elles lui ont survécu jusqu’à ce jour, sur tous les continents ?

Née en Allemagne en 1941, Heide GOETTNER-ABENDROTH  est docteure en philosophie des sciences. Elle a enseigné la philosophie pendant dix ans à l’université de Munich. Elle consacre sa vie et ses recherches aux sociétés et cultures matriarcales dont elle est devenue l’une des grandes spécialistes mondiales. Son livre « Les sociétés matriarcales – Recherches sur les cultures autochtones à travers le monde » a été récemment traduit en français.

À l’assertion : les sociétés matriarcales sont des sociétés dominées par les femmes, elle répond :

«Non, ce ne sont pas des sociétés où les femmes détiennent le pouvoir. Ce sont des sociétés égalitaires, où les deux sexes sont valorisés. La mère y est placée au cœur, mais pas au sommet. Ce sont des sociétés matrilinéaires et matrilocales. Au niveau politique, les décisions sont prises par consensus, tout le monde a son mot à dire. Sur le plan économique, ce sont les femmes qui ont la charge de la distribution des biens essentiels, comme les maisons, les terres, la nourriture. Elles le font le plus équitablement possible entre tous les membres du clan. Enfin, la notion de sacré est omniprésente. Les membres de ces sociétés se soucient de chaque être vivant, chaque plante, chaque animal. Ils vénèrent la Terre mère et l’idée de l’exploiter ou de la détruire ne leur viendrait jamais à l’esprit. Ils n’utilisent que ce dont ils ont vraiment besoin et veillent notamment à ce que la croissance démographique soit adaptée à l’environnement ».

Ce type de société est, pour le moins séduisant, ne trouvez-vous pas ? Loin de toute utopie, Marie-France de MEURON nous présente sur son blog, le portait de douze femmes qui « s’engagent dans leurs actions en alliant le bon sens à l’intelligence, la pratique à la générosité, le savoir-faire à l’audace ». Vous avez dit apôtres ?  :

  • Une psychologue : « Toute vie humaine est courte sur terre, et nous venons y apprendre à aimer, à vivre, à goûter de la joie et de la beauté, à rencontrer l’harmonie ».
  • Une généticienne : « La vie ne s’échappe pas facilement d’un corps sain ».
  • Une médecin : « La première des priorités est de briser nos chaines ».
  • Une docteure en droit : « Ce non-pays est désormais transformé, peu importe son président de façade, en a-France ».
  • Une professeure honoraire en droit de la famille : « Quand on manque de morts, comment faire peur ? ».
  • Une scientifique : nous explique pourquoi la pandémie n’existe pas, que le test PCR est un leurre et que le vaccin est une dangereuse aberration.
  • Une naturopathe : accompagne enfants et adultes sur le chemin de la santé et du mieux-être.
  • Une philosophe : « De la démocratie en pandémie : santé, recherche, éducation ».
  • Une médecin et députée : « L’urgence sanitaire, ce n’est pas enfermer, bâillonner sur le territoire ».
  • Une designer : « Nous ne sommes plus à l’église. On ne croit pas : on vérifie et on assume ».
  • Une enseignante : « Je suis allergique aux mensonges et à l’injustice ».
  • Une actrice… españole (Viva España) : « Les coûts et les dommages collatéraux de ces mesures sanitaires, nous allons les payer et nous sommes en train de les payer très cher et très longtemps ».

Bravo et merci Mesdames. Respect et admiration.

« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité

ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »

(Benjamin Franklin)

Chers lecteurs, je vous aime et vous salue.