Si l’on se réfère au dictionnaire Larousse, il s’agit d’une épreuve, d’un essai ou d’un examen.
Quand la chose est d’importance, je consulte mon dictionnaire préféré, celui du centre national de ressources textuelles et lexicales (CNRTL). Celui-ci me confirme que c’est : une épreuve, un essai, une observation ou bien une méthode.
Mais de quel mot l’ami Hubert est-il à la recherche d’une définition ? Certains ont déjà trouvé… oui, il s’agit du mot test.
Si le test PCR est effectivement une épreuve pour ceux qui subissent l’intrusion nasale du bâtonnet de prélèvement, l’examen en laboratoire s’avère, semble-t-il, quelque peut aléatoire.
Une fois encore, il nous faut garder raison et observer les faits, rien que les faits, mais TOUS les faits, fussent-ils dérangeants.
Diverses sources tendent à prouver que :
- Le test RT-PCR a été conçu à la base, pour répliquer l’ADN et non pour détecter des virus.
- Il peut détecter des fragments d’ADN 45 jours après une contamination.
- Pour 90% voire plus des tests PCR positifs, les malades n’auraient pas de symptômes.
L’inventeur de ce test, Kary Mullis, prix Nobel de chimie, précise son utilisation :
« Le {PCR} se distingue de cela. C’est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malades. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »
Les tests antigéniques VivaDiag dits « tests rapides » ont été retirés de la distribution par la direction générale de la santé (DGS), dans des conditions rocambolesques, pour cause de… trop nombreux faux positifs.
Une cour d’appel portugaise a jugé que les tests PCR ne sont pas fiables :
« Cela signifie que si une personne est positive au test PCR à un seuil de cycle de 35 ou plus (comme c’est le cas dans la plupart des laboratoires américains et européens), les chances qu’elle soit infectée sont inférieures à 3 %. La probabilité qu’une personne reçoive un faux positif est de 97% ou plus…
Toutefois, et c’est là le point le plus important, il n’existe aucune preuve scientifique suggérant que de faibles niveaux d’ARN viral RT-PCR sont équivalents à une infection, à moins que la présence de particules virales infectieuses n’ait été confirmée par des méthodes de culture en laboratoire.
En résumé, les tests Covid-19 montrant des faux positifs sont de plus en plus probables dans le climat épidémiologique actuel du Royaume-Uni, avec des conséquences importantes pour les personnes, le système de santé et la société ».
Même Le Monde, journal que l’on peut difficilement taxer de complotiste (quoi que☺), accorde ses colonnes à une tribune ainsi titrée :
Covid-19 : « Des biais amplifient artificiellement le nombre de cas positifs et faussent la perception de la gravité de l’épidémie »
« Le dépistage des cas de Covid-19 sans évaluation de la charge infectieuse est un non-sens épidémiologique, alertent le vétérinaire Patrick Guérin et le médecin Didier Sicard, dans une tribune au « Monde ».
Alors vouloir tester à tout prix tous ce qui bouge … cela devient fort de café !!! C’est aussi le motif de la grosse colère de Maître Carlo Alberto Brusa, avocat de l’association « Réaction 19 ». En effet, il rappelle les règles de droit qui ne permettent pas d’imposer un test aux enfants, sous peine de ne pas être admis à l’école.
Allez, une dernière… pour la route : la Chine à mis au point des test… rectaux !!! Si cette méthode s’étends, 2021 promet d’être annus horribilis ☺☺☺.
« Réfléchir c’est difficile, c’est pourquoi la plupart des gens jugent »
C’est dans de pareils moments qu’il faut revenir à notre humanité et rappeler à tous nos êtres chers, à quel point nous les aimons.
Chers lecteurs, je vous aime et vous salue.