J P MORGAN. Ce nom est familier aux lecteurs qui suivent mes billets depuis longtemps. En effet, j’ai maintes fois eu l’occasion d’évoquer cette importante très importante société financière. C’est actuellement la première banque américaine en termes d’actifs. Le 15 juin 2015, je vous expliquais qu’elle était en pointe pour la suppression du cash.

Le 24 février 2018, j’évoquais sa place au sein de l’oligarchie mondialiste américaine, dans le cadre plus large de l’histoire de l’impérialisme américain. Dans les révélations que je vous faisais sur l’histoire de la réserve fédérale des États-Unis d’Amérique (la FED), mon billet du 17 mars 2018 vous expliquait que c’est dans le très sélect et très privé « club de chasse de Jekyll Island », une des propriétés de John Pierpont MORGAN (J P pour les intimes) que fut imaginé « l’escroquerie » de la FED. Contrairement à ce que l’on croit, elle n’appartient absolument pas à l’état américain, mais bien à douze banquiers privés dont «l’ami J P ».

Dans mon billet du 5 avril 2018, je vous faisais part des ambitions de Jeff BEZOS ( patron d’AMAZON) dans le domaine des services bancaires, avec l’aide… de la banque J P MORGAN. Plus récemment, dans mon billet du 9 de ce mois de mars 2019, je vous révélais que les réserves d’or physique de la France, cette richesse réelle de notre pays, la garantie de notre indépendance en tant qu’état… Était gagées pour servir de garantie à des transactions financières internationales, avec l’aide… de la banque J P MORGAN. Rien que ça !!!

Comme si cela ne lui suffisait pas, cette « banque amie » qui cible des sociétés en forte croissance et en cours d’internationalisation, vient d’étendre à l’Europe, son activité de banque commerciale en direction des entreprises (PME et ETI). Paris où se trouve basée sa banque commerciale pour la France est sa tête de pont pour « placer ses pions » en Europe, en cas de « hard Brexit ».