Dans mon billet du 22 juillet 2017 titré « Allons mes amis, ayons du courage », je vous, nous invitais à lutter contre les incitations pressantes à consommer tout et n’importe quoi. Les plus anciens d’entre nous se souviennent certainement que nous allions chercher le vin « à la tireuse » et que nombre de produits étaient vendus « en vrac ». Beaucoup de bocaux et de bouteilles en verre étaient consignés ce qui, à l’époque, était rentable pour tous, industriels et consommateurs.

Aujourd’hui, la consigne n’est plus de mise et il n’y a plus beaucoup de bouteilles en verre qui sont allégrement remplacées par du plastic. Pardon, je devrais écrire : remplacées par du polytéréphtalate d’éthylène (PET). À en croire ses fabricants, ils sont parés de tous les atouts. Pourtant, il semblerait qu’il faille y regarder de plus près.

Si, comme moi, vous veillez à changer régulièrement de marque d’eau minérale, regardez-vous sous la bouteille le logo qui vous informe de la dangerosité du flacon de plastic !!!

Et si nous revenions aux bouteilles en verre qui n’ont pas ce type d’inconvénient ? Et si pour optimiser leur utilisation, au lieu d’être jetables, elles étaient davantage consignées ? Cela ferait de sérieuses économies, ne croyez-vous pas ?

Si vous le pensez, n’hésitez pas à signer la pétition adressée à notre ministre de la transition écologique, François de Rugy.