C’est une foi de plus l’excellent « Saker » qui nous alerte sur un danger méconnu du grand public : la guerre bactériologique.
Je me souviens qu’au tout début des années 70…. Pas 1870 !!! 1970. J’ai un âge certain, mais quand même!!! Nous testions à la brigade des sapeurs-pompiers de Paris, les nouvelles « tenues d’intervention NBC », en cas d’accident nucléaire, bactériologique ou chimique. La guerre bactériologique maintenant appelée guerre biologique est d’autant plus redoutable qu’« on ne la voit pas venir ». Imaginez une armée conventionnelle dont tous les soldats seraient atteints « en même temps », d’une gastro …. Cette armée deviendrait alors totalement inopérante. Cet exemple caricatural cache des possibilités beaucoup plus « destructrices ».
Alors quand on apprend que la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) qui dépend du département de la défense des États-Unis d’Amérique (Pentagone), finance un projet appelé « Insect allies », on peut craindre le pire de l’état profond américain dont je vous informe régulièrement des noirs desseins.
La description du programme faite par le Dr Blake Bextine, de la DARPA, est, on ne peut plus claire : « amplifiant un système naturel et efficace en deux étapes pour transférer des gènes modifiés aux plantes : avec des insectes vecteurs qui transmettent des virus modifiés aux plantes ». Des agents d’altération génétique ou des virus seront introduits dans la population d’insectes afin d’influer directement sur la constitution génétique des cultures.
Et pendant ce temps-là, si important que cela soit, nous en sommes à nous écharper au sujet de l’augmentation du SMIC. Il est vraiment temps que nous prenions conscience des réels périls qui nous guettent.