Déjà dans mon billet du 30 décembre 2014, je vous informais que «Le groupe industriel britannique Rolls Royce Holdings, un des principaux fabricants de moteurs de bateaux, imagine l’avenir de la marine marchande: des navires sans équipage, contrôlés depuis la terre ferme».

Dans mon billet journalier du 2 décembre 2017, je vous ai relaté les recherches, notamment d’AIBUS Industrie, relatives à une aile volante utilisée pour aider la traction de navires permettant ainsi une économie de carburant et donc du coût total de la navigation

Toujours dans cet objectif, aujourd’hui voit le développement de « navires autonomes », c’est-à-dire sans équipage et donc sans les réserves de vivres qui vont avec. De plus, pas de législation sociale à financer, toujours «trop coûteuses» Et cerise sur le bateau… pardon, sur le gâteau, moins, voir plus du tout d’accident. En effet, ces navires, bourrés de capteurs et d’électronique le tout relié à une chaine de satellites… Autrement dit, guidés par « l’intelligence artificielle », sauront éviter les collisions.

Le groupe Norvégien Kongsberg, avec le récent rachat de la branche marine de Rolls-Royce, devient un acteur majeur dans ce domaine.