Malins les maires des grandes villes. Pour « compenser » la perte de recettes fiscales engendrées par la « suppression » de la taxe d’habitation dont je vous ai longuement entretenu dans mon billet du 21 octobre dernier, ils vont surtaxer les résidences secondaires de leurs administrés. Bien sûr, offfficiellement, c’est pour lutter contre les locations de courtes durées, type Airbnb!!!

Coup de gueule de Jean-Marc TORROLLION, président de la FNAIM, une des premières organisations syndicales des professionnels de l’immobilier, qui part en guerre contre : « l’augmentation de la taxe sur les résidences secondaires, le résultat d’une fiscalité discriminante et à bout de souffle ».

La note s’avère salée Bordeaux envisage une augmentation de la surtaxe d’habitation sur les résidences secondaires de20 à 50 %. Nice va tripler le taux de la taxe, à 60 %. Fin 2017, Saint-Jean-de-Luz  a doublé son taux à 40 %. Paris n’est pas en reste avec un objectif à 60%.

Une raison de plus pour rapidement faire le point sur sa stratégie immobilière.