Jean-Pierre CHEVALLIER est un analyste financier indépendant, pour le moins « contrarien ». Ses analyses sont toujours très argumentées.

Dans un de ses récents billets, avec son style très personnel, mais toujours avec ce souci de la rigueur des chiffres, toujours sourcés de manière très précise, il nous compte l’histoire de cette banque italienne, Intesa Sanpaolo : « Les banksters d’Intesa Sanpaolo ont donc réussi l’exploit d’obtenir pour les actionnaires 3,5 milliards d’euros (sans avoir fourni de services en contrepartie) de la part de l’État alors qu’ils ont dégagé officiellement 3,8 milliards d’euros de bénéfices après impôts de leurs activités ordinaires ». Édifiant.