En ce début de mois, Crédit Suisse, le deuxième établissement bancaire helvétique, a annoncé sa première perte annuelle depuis la crise en 2008. La raison invoquée serait une lourde charge pour dépréciation sur le segment « banque d’investissement ».
Conséquence directe de ce mauvais résultat, environ 5 000 suppressions de postes supplémentaires dans les effectifs de la banque.