Au lieu de se focaliser quasi exclusivement sur « les affaires » de certains prétendants à la magistrature suprême, nos grands médias nationaux seraient bien inspirés de nous éclairer sur l’état de la dette de notre pays et poser « les questions qui dérangent » aux candidats déclarés.
De notre côté, soyons bien conscients que toutes les largesses promises ne seront pas au rendez-vous pour une raison simple : nous n’en avons plus les moyens….et depuis longtemps.
Sachant que vous venez de vous faire licencier à 50 ans, promettriez-vous à votre « petit dernier », la belle voiture dont il rêve, s’il réussit son bac ? Dans mon billet de samedi prochain, je reviendrais plus en détail sur ce qu’il en est de la dette de la France.