La « relique barbare » a repris des couleurs en 2016. La demande a progressé de 2% par rapport à l’année 2015, avec un montant de 4 309 tonnes.
Selon John Mulligan, un des responsables du Conseil mondial de l’or (la fédération internationale qui réunit des producteurs d’or) les investisseurs institutionnels ont voulu se « protéger » des risques potentiels du Brexit et des incertitudes de l’élection présidentielle américaine.
Si les « professionnels » augmentent leur demande d’or (+ 70% quand même) en période d’incertitudes, ne pensez-vous pas qu’il faudrait en faire de même ? Contrairement à ces institutionnels qui opèrent sur les ETF (or papier) je vous conseille à nouveau de privilégier l’or physique.
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