Lors de la 10è conférence internationale de l’assurance qui s’est tenue à Paris le 26 octobre dernier, les assureurs ont parfaitement pris...
GAFAM
Google nous espionne : normal, c’est congénital
Comme je l'ai souvent mentionné dans mes billets et notamment celui du 1 novembre 2017, l’agence de sécurité des États-Unis (NSA) est omniprésente...
Sanctions américaines : on peut leur dire merci
INTRODUCTION Si nous sommes pris par les « Z’élites » pour les « Z’imbéciles » que nous sommes devenus, c’est à nous seuls qu’il appartient de ne...
L’impérialisme américain : Qui est derrière tout cela ? 2ème partie
Introduction Je vous offre l’ensemble de mes billets, pour élargir l’étendue de vos réflexions et ainsi augmenter le « champ des possibles »,...
Allons mes amis. Ayons du Courage
Je terminais mon billet du 24 juin 2017, en citant : « l’écrivain et économiste Jacques ATTALI, qui nous explique comment « les politiques » n’ont...
Élection présidentielle : Où allons-nous? Fin….. Provisoire
Vous avez aimé la financiarisation et ses conséquences avec la naissance de la crise actuelle en 2008……Vous allez adôôôôrer la numérisation !!! Les...
DERNIERS BILLETS MIS EN LIGNE
Mille-feuilles : un gros livre ou la pâtisserie ?
Certificats d’économie d’énergie : vous avez dit économie ?
Le dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE), créé en 2005 pour inciter à la maîtrise de la consommation énergétique, est dénoncé comme complexe, opaque et coûteux. La Cour des comptes juge ses résultats difficiles à mesurer et entachés d’un fort effet d’aubaine. Financé hors budget de l’État, son coût — environ 5,3 milliards d’euros par an — est répercuté sur les factures des ménages et des entreprises. Ce mécanisme ferait ainsi peser directement sur les consommateurs le financement de la politique énergétique.
Laizinjeccions : on peut débattre de tout, sauf des chiffres !
Une étude de l’AIMSIB analysant les données officielles de 28 pays européens pour explorer les corrélations entre mortalité toutes causes confondues et injections anti-Covid. Les auteurs y affirment que les corrélations positives…
Garder un chien de sa chienne : une application pratique
Banques et assurances françaises ? Tout va bien !
Le système bancaire français reste globalement solide fin 2024, malgré une légère hausse du risque de crédit, surtout pour les PME et la consommation. Les assureurs affichent une collecte en hausse et un marché en croissance, mais leur ratio de solvabilité recule et leurs placements, très majoritairement en valeurs mobilières, interrogent sur leur résilience réelle.
Le changement climatique n’est pas catastrophique. Si c’est Bill qui le dit !
évolution des discours sur le changement climatique : certains dirigeants comme António Guterres appellent toujours à agir, tandis que d’autres figures – Ted Nordhaus, Bill Gates ou certains rapports scientifiques récents – nuancent ou revoient leurs positions sur l’impact du CO₂ et les scénarios catastrophistes. Le texte s’interroge enfin sur les enjeux économiques liés aux marchés du carbone et appelle à passer à l’action.
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