Introduction
Chers lecteurs, je vais vous faire une confidence « surprenante » : mon petit doigt gauche me parle !!!
Il faut vous préciser que je suis gaucher et fier de l’être, comme : Léonard de Vinci, Nikola Tesla, Ludwig van Beethoven… je suis attentif à ce que fait ma main gauche et, plus particulièrement, son auriculaire.
Comme tous les parents le savent… un petit doigt, ça parle. Ça chuchote même à l’oreille des parents, les bêtises que font parfois les enfants sages. Figurez-vous que mon petit doigt gauche ne cesse de me rapporter, à sa manière, ce qu’il retient des péripéties du monde. Comme vous allez le constater, il est même doté d’une certaine clairsentience.
Je le surnomme affectueusement « Madri », en rrroulant le R, comme nous le faisons, ici en Espagne. Un peu comme les Sarthois (mon épouse est sarthoise, mais, curieusement, elle ne rrroule pas les R) !
Coucou, les amis, c’est Madri 😀. Je me réjouis de voir que vous allez bien. Il est vrai que je le souhaite si ardemment et avec tant d’amour, qu’il ne peut en être autrement 😍.
Un principe de droit
Condition essentielle de toute responsabilité civile, le lien de causalité est un lien de cause à effet, entre une faute (ou, plus largement, un fait générateur de responsabilités) et un dommage. S’il est établi, il ouvre la voie à la réparation du dommage. S’il ne l’est pas ou s’il est incertain, il fait obstacle à cette réparation.
La notion de lien de causalité n’est pas définie par le Code civil. Si, de premier abord, il s’agit d’une notion intuitive qui suppose d’établir un lien de cause à effet entre le comportement reproché et le dommage allégué, sa démonstration est complexe, le lien de causalité devant être direct.
Un ministre déterminé
Connaissez-vous Pete HEGSETH ? C’est le secrétaire d’État à la Guerre des États-Unis d’Amérique. Autrement dit, l’équivalent de notre ministre des Armées. Nommé le 25 janvier 2025 à ce poste par Donald TRUMP, il entend mettre de l’ordre dans l’armée américaine.
Lors d’une convocation de la haute hiérarchie militaire (plus de 800 généraux et amiraux), sur la base de Quantico, près de Washington, le 30 septembre dernier, il a été direct et clair sur sa vision de l’avenir de l’institution :
- « Je vous souhaite la bienvenue au nouveau département de la Guerre. L’ère du département de la Défense est révolue ».
Son discours se veut direct et efficace. Plus de wokisme ni de soldats en surpoids. Il veut que les militaires soient rasés de frais, portent les cheveux courts. Bref, le retour de la rigueur militaire :
- « C’est fatigant de regarder les formations de combat, ou n’importe quelle formation d’ailleurs, et d’y voir des soldats gros. De même, il est tout à fait inacceptable de voir des généraux et des amiraux, gros, dans les couloirs du Pentagone ».
Sur le plan opérationnel, il affirme le retour d’une armée conquérante :
- « Nous donnons carte blanche à nos combattants pour intimider, démoraliser, traquer et tuer les ennemis de notre pays. Fini les règles d’engagement politiquement correctes et autoritaires, place au bon sens, à une létalité maximale et à l’autorité des combattants ».
Aussi intransigeant à l’extérieur qu’à l’intérieur, lors d’une réunion des ministres de la Défense des pays de l’OTAN à Bruxelles, le 15 octobre dernier, il a lancé un avertissement à la Russie :
- « Si aucune voie de paix n’est trouvée à court terme, les États-Unis, de concert avec leurs alliés, prendront les mesures nécessaires pour punir la Russie de son agression continue. Si nous prenons cette mesure, le Département de la Guerre des États-Unis est prêt à apporter sa contribution, comme seuls les États-Unis le peuvent ».
Vous avez dit bizarre ? Comme c’est étrange !
Fois de petit doigt gauche, il se passe des choses étranges. Figurez-vous que, lors de son retour de cette réunion otanienne à Bruxelles, l’avion de «l’ami Pete» a été victime d’une curieuse mésaventure. Alors qu’il survolait l’océan atlantique… il a envoyé un « signal 7700 » de détresse !
Ce signal est activé « pour les urgences générales nécessitant une assistance immédiate ». Ce peut être une difficulté d’ordre médicale ou technique, affectant l’appareil. Après l’incident, l’avion est descendu à environ trois mille mètres d’altitude, d’où il a viré et s’est dirigé vers la Grande-Bretagne.
Alors que les procédures sont parfaitement définies en de telles circonstances, plutôt que d’atterrir à l’aéroport le plus proche de l’émission du signal de détresse, par exemple, Cork en Irlande ou Cardiff, en Angleterre… l’équipage a décidé de voler plusieurs centaines de kilomètres plus loin, jusqu’à une base militaire dans l’est de l’Angleterre !!!
Causalité, vous avez dit causalité ?
Seul un complotiste, ce qu’un petit doigt gauche ne saurait être, verrait un lien de causalité entre l’incident de l’avion du ministre et… l’ultimatum lancé à la Fédération de Russie. Ou bien encore, avec les réprimandes cinglantes, adressées à la haute hiérarchie de l’armée américaine !!!
Conclusion
Vous n’allez pas le croire. Quelques jours après (le 26 octobre), deux aéronefs de la marine américaine, appartenant au porte-avion USS Nimitz, « sont tombés à l’eau » en mer de Chine méridionale, dans deux incidents … distincts, survenus à quelques minutes d’intervalle.
Le premier accident a impliqué un hélicoptère MH-60R Sea Hawk de l’escadron « Battle Cats ». Il est allé « se baigner », pendant, ce que la Marine a appelé… des « opérations de routine ». Les trois membres de l’équipage ont été retrouvés, mouillés mais vivants 😀.
Moins d’une heure plus tard, un Super Hornet F/A-18F de l’escadron « Fighting Redcocks » a également « fait trempette », alors qu’il était en vol, à proximité du porte-avion. Les pilotes se sont éjectés et ont été secourus.
Causes, effets, relation entre les deux, vengeances, avertissements… tout cela est bien étrange. À moins que ce ne soient, que, des coïncidences, dues à l’erreur humaine et à des certitudes militaires. Souvenez-vous !
À bientôt pour de nouvelles confidences de mon petit doigt gauche. Entre-temps, prenez grand soin de votre corps et de votre esprit.
Gardez précieusement en mémoire que la personne la plus importante de votre vie, c’est vous. Ce n’est pas ce qu’en pensent les autres.
Aimez-vous et faites-vous confiance, car … vous le valez bien ! Je vous aime et vous salue.
Sans boussole, on marche au hasard.
Le GUIDE DE SURVIE, c’est celle que je mets entre vos mains.
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Bonjour Hubert,
Les costauds généraux US NATO
Les donneurs de leçons et petits noms meurtriers pour les civils.
Odyssey, storm desert
“Tempête du désert
DasmanBataille de l’île de FailakaVol
British Airways 149
Opération Bouclier du désert
Opération ArtimonBusiris
Salamandre
Daguet BatinHighway
DeathBataille etc
Concernant L’Ukraine non européenne
Opération
Foutage de gueule.
La réalité militaire actuelle est tout autre…
https://www.voltairenet.org/article223092.html
La dette est créée par les banques les guerres sont organisées aux profits des mêmes grandes familles. .
prêteurs de deniers elles spéculent sur tout les tableaux:
Armer,
Détruire,
Piller,œuvre d’art…organes…Or…matière premières.
Diviser en province les pays attaqués et enfin reconstruire.
avec une dette colossale.ex France ,Japon etc…
Bonne lecture un homme averti en vaut deux.
En complément
en 2022, le Japon a signé un accord quinquennal pour verser environ 9,1 milliards de dollars aux États-Unis.
Cette contribution, connue au Japon sous le nom de « Omoiyari Yosan.
inclut des paiements directs et indirects, tels que les loyers des terrains occupés par l’armée américaine, les salaires des travailleurs locaux employés sur les bases, et des frais liés au déplacement de certaines installations, comme le projet de transfert d’une base d’Okinawa à Guam.
En 2017, selon un rapport du département américain de la Défense, le Japon avait fourni une aide directe de 3,2 milliards de dollars et une aide indirecte de 1,18 milliard de dollars.
En 2024, la contribution financière du Japon pour les bases américaines dépassait un milliard de dollars par an.
Cette contribution est considérée comme l’une des plus élevées parmi les alliés des États-Unis, avec le Japon assumant environ 75 % des coûts de la présence américaine au Japon, un niveau supérieur à celui de la Corée du Sud (40 %), de l’Allemagne (30 %) ou de l’Italie (40 %). concernant la France je vous laisse deviner 3000 milliards de pesetas