LE MOMENT DÉTENTE DE LA SEMAINE 

Fêter l’anniversaire de son conjoint est toujours l’occasion de le ou la gâter, d’une manière ou d’une autre.

Connaissez-vous Guy MONTAGNÉ ? Cet « humoriste né » … est né le 6 mars 1948 à Paris. Il n’a que seize ans lorsqu’il monte sa propre troupe de théâtre amateur.

Poussé par sa mère, à ses vingt ans, il s’inscrit aux célèbres cours SIMON qu’il fréquente deux années durant. Il en sort avec un premier prix de comédie.

De 1974 à 1978, il participe à la série télévisuelle « Le commissaire Moulin », aux côté d’Yves RÉNIER. La même année, Stéphane COLLARO l’engage pour faire des imitations et écrire les textes comiques pour son émission sur Europe 1.

Dix années plus tard, Philippe BOUVARD l’invite à son émission « Les Grosses Têtes » sur RTL puis sur TF1. Il en devient, pendant quatorze ans, l’un des piliers.

Il participe en 1992 au film « Le Retour des Charlots ». La même année, « l’ami Guitou » crée son premier seul-en-scène au Théâtre des Deux Ânes. Il enchaîne jusqu’en 2004 neuf autres spectacles au Théâtre de Dix heures, au Théâtre Grévin, au Daunou, au Théâtre du Gymnase et au Palais des Glaces !

En 2003, Guy MONTAGNÉ rencontre la comédienne humoriste Sylvie RABOUTET qui vient de créer son premier spectacle comique. Il l’auditionne et accepte de produire son spectacle au Théâtre de Dix Heures. Entre les deux clowns, c’est le coup de foudre, autant professionnel qu’amoureux.

En 2020, à la suite des périodes de confinement sanitaire, Guy MONTAGNÉ et sa compagne abandonnent leurs activités théâtrales pour se consacrer exclusivement à la création de vidéos comiques sur YouTube.

Voici maintenant Monsieur MONTAGNÉ qui interprète, rien que pour vous, le rôle de Salomon BÉNICHOU qui décide d’offrir un cadeau original à sa femme Rebecca.

Chers lecteurs, puisse ce moment de détente, être le prélude à une fin de semaine agréable.

Je vous aime et vous salue.

« L’humour, à l’inverse de l’ironie, est une manifestation de la générosité :
sourire de ce qu’on aime c’est l’aimer deux fois plus »
(Christian Bobin)