Introduction.
Les évènements s’enchainent de plus en plus rapidement. Nos repères s’estompent, sous une forte pression médiatique. Nous sentons confusément que quelque chose de sombre va arriver. Pourtant, nous sommes entrés dans les temps de l’apocalypse, c’est-à-dire, les temps du dévoilement, de la vérité.
Deux anciens amis, que les fidèles lecteurs de ce blog connaissent bien, se joignent à moi pour décrypter différents faits d’actualité de manière succincte. Il s’agit du démystificateur de sophismes économiques, Frédéric BASTIAT et de mon poète préféré, Alex ANDRIN.
Mes billets s’articulent en trois parties. Les deux premières, à la manière de « l’ami Frédéric », avec son célèbre : « Ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas ». La troisième partie est réservée à la vision de « l’ami Alex ».
µ CE QUE L’ON VOIT
Contrairement à ce que croit le grand public, pour les scientifiques, le « Big Bang » est la suite des étapes de l’évolution de l’Univers, depuis un état chaud, dense et très concentré jusqu’à aujourd’hui. Cet état est suffisamment proche de l’origine, mais n’est pas l’origine. La quête pour l’origine de l’Univers se fait en améliorant, avec le temps, nos connaissances théoriques et la sensibilité des télescopes.
Cet instrument optique permet d’augmenter la taille apparente des objets observés et surtout leur luminosité. Son rôle d’amplificateur de lumière étant aussi, voire plus important, que son grossissement optique, il permet d’apercevoir des objets célestes ponctuels difficilement perceptibles ou invisibles à l’œil nu.
Pour voir encore plus loin et plus précisément, les télescopes sont parfois montés dans des avions porteurs (l’Observatoire aéroporté Gerard P. KUIPER ou l’Observatoire stratosphérique pour l’astronomie infrarouge (SOFIA). Ils peuvent aussi être montés sur des ballons de haute altitude. C’est le cas du Télescope submillimétrique à grande ouverture porté par ballon (BLAST).
Encore plus haut, les télescopes spatiaux permettent de découvrir ce qui se trouve au-delà de la Terre, bien avant que nous soyons en mesure de l’explorer en personne. Pour voir la lumière des premières étoiles qui se sont formées, peu après « l’instant initial » de notre univers… selon la théorie évolutionniste du Big Bang.
Le plus récent télescope spatial s’appelle « James Webb », du nom de l’ancien second administrateur général de la NASA. Il a été lancé le 25 décembre 2021 par une fusée Ariane 5, depuis la base de Kourou. Il est actuellement en orbite héliocentrique, à 1,5 million de kilomètres de la terre. Sa mission scientifique primaire est d’étudier les premières galaxies formées après le « Big Bang » survenu il y a 13,8 milliards d’années. Elle est prévue pour durer 5 ans et demi.
En juillet 2022, « l’ami James » a livré ses premières images. Elles ont fait l’émerveillement du monde scientifique. Un an après sa mise sur orbite, il nous livre de nouvelles images… qui commencent à interpeller certains scientifiques :
- « D’une manière ou d’une autre, l’Univers a réussi à former des galaxies plus vite et plus tôt que ce que nous pensions».
- « On en tire immédiatement la conclusion qu’elles sont massives, et cela soulève une véritable énigme: comment ont-elles pu former autant d’étoiles en si peu de temps?».
- « ces galaxies devraient avoir commencé à se former peut-être seulement 100 millions d’années après le Big Bang. Personne n’aurait cru que les âges sombres se seraient terminés si tôt».
De nouvelles images transmises très récemment « enfoncent le clou ». Le télescope a observé des galaxies beaucoup plus grandes et plus anciennes qu’on ne le pensait auparavant. À cause de cette découverte, la théorie du big bang est remise en question.
CE QUE L’ON NE VOIT PAS
Hans SIPEL, expert et formateur en communication de crise, analyse l’évènement :
- « Maintenant, toutes ces hypothèses scientifiques semblent reposer sur des fondations de sable mouvant. Le télescope Webb enseigne qu’il n’y a jamais eu de Big Bang. Il faut d’abord digérer ça ! Vous êtes profondément ébranlé par vos soi-disant certitudes et votre croyance en la science».
Il s’attendait à ce que les médias grand public fassent un large accueil à cette véritable « révélation ». Mais les images de James Webb mettent à bas tout le fondement de la science, alors… SI LEN CE !!! La « communauté scientifique » va-t-elle avouer qu’elle s’est jusqu’alors trompée ? Pas si sûr !
Comme je l’analyse, preuves à l’appui, dans le dernier numéro des « Rendez-vous d’Hubert », quand on voit avec quel aplomb les Américains ont manipulé les masses et ont menti au monde entier, concernant : l’assassinat du président KENNEDY, leurs premiers pas sur la lune, les attentats du 11 septembre 2001, l’affaire Joe et Hunter BIDEN, le « Corona-Manipulus », les raisons de la guerre en Ukraine…
Mieux vaut mentir que d’avouer que l’on s’est trompé, ou que l’on n’est pas compétent, ou que l’on est de simples voyous !!! Trop c’est trop. Les masques commencent à tomber et la vérité se fait jour. Les « illusionnistes » ne vont plus régner bien longtemps et c’est tant mieux. Comme l’écrit « l’ami Hans » :
- « La pourriture concrète de la décadence morale dans ces cercles est trop grande. Les usines à mensonges sont trop transparentes. La mesquinerie est trop évidente. L’orgueil trop exubérant ».
CE QU’EN PENSE ALEX ANDRIN
Les certitudes se doivent d’être remises en cause.
La « vérité vraie », est loin de ce qu’on nous propose.
Le monde politique, ce sont souvent des mensonges,
Ce sont des Pinocchio, voyez comme leur nez s’allonge.
Heureusement, bientôt ce temps est révolu,
À faire jaillir la vérité, soyons pleinement résolus.
Soyez forts, persistez. Je vous aime et vous salue.
Merci. Ça fait du bien Hubert.
Bonne journée.