L’Organisation des Nations Unies (ONU) est une organisation internationale fondée en 1945. Aujourd’hui, elle compte 193 États membres. Depuis le 1er janvier 2017, c’est António GUTERRES qui est le secrétaire général de cette organisation. Ancien premier ministre du Portugal, il a aussi été président du conseil européen.
On connait surtout de l’ONU, le conseil de sécurité et ses célèbres Casques bleus. Ce sont des forces multinationales composées de personnels nationaux placés sous l’autorité des Nations Unies. Elles comprennent aussi bien des civils, des militaires que des forces de police. Leur nombre varie en fonction de la mission qui leur est assignée. Elles ont pour mission, le maintien de la paix et de la sécurité sur le terrain.
Un autre organe de l’ONU, moins connu du grand public est le Conseil des droits de l’homme (CDH). Composé de 47 états membres qui sont élus par l’assemblée générale des Nations Unies, il est chargé de renforcer la promotion et la protection des droits de l’homme dans le monde. Il a également pour mission de faire face à des situations de violations des droits de l’homme et de formuler des recommandations à leur sujet.
La séance d’ouverture de la 46è session du CDH s’est tenue le 22 de ce mois de février 2021 à Genève. « Coronas-empêchibus » oblige, elle s’est déroulée en visioconférence. Le secrétaire général António GUTERRES a été très direct dans ses critiques : ( vidéo de la minute2 à la minute 3) :
« Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des organisations non gouvernementales.
Des défenseurs des droits humains, des journalistes, des avocats, des militants et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet d’arrestations, de poursuites et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures – ou le manque de mesures- prises pour faire face à la pandémie.
Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques.
L’accès à des informations vitales a parfois été entravé, tandis que la désinformation mortelle a été amplifiée, y compris par quelques dirigeants ».
Selon la formule consacrée : Toute ressemblance avec des faits qui se seraient passés dans le pays des droits de l’homme, ne pourrait résulter que d’une simple coïncidence.
- Francis Lalanne visé par une enquête pour atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation.
- Offensive contre France Soir : cette insupportable liberté d’expression.
- Le Pr Fourtillan interné contre son gré – « En tant qu’avocat, je suis inquiet de ce qu’il se passe ».
- AP-HP : Christian Perronne démis de ses fonctions « pour des propos indignes de la fonction qu’il exerce »
- Tolérance zéro : les vacanciers coincés dans les embouteillages après 18h seront verbalisés.
- Des sanctions plus lourdes pour les professionnels ne respectant pas la fermeture administrative
- Vers Rennes : récit de villageois persécutés par la gendarmerie à l’occasion de l’enterrement d’un homme ruiné par l’État.
- Vote par anticipation: tollé des oppositions après l’amendement surprise de l’exécutif.
- Farida : la dangereuse infirmière, ennemi public n°1, arrêtée, jugée et bientôt condamnée pour l’exemple pendant que dealers et casseurs (les vrais) ne sont jamais inquiétés par les services de justice.
- Fin de la mission d’information sur le Covid à l’Assemblée : “La culture parlementaire est absente de cette majorité
« Tout au long de l’histoire de l’humanité, il y a eu des meurtriers et des tyrans.
Bien qu’il puisse sembler momentanément qu’ils aient le dessus, ils sont toujours tombés ».
Chers lecteurs, je vous aime et vous salue.