Depuis le 26 mai 2018, les députés fédéraux de Belgique absents lors des votes des commissions parlementaires sont privés d’une portion de leurs salaires. Sauf absence justifiée (déplacement à l’étranger, motif familial ou maladie), un parlementaire séchant plus de 20% des séances de votes perd 10% de son salaire. Celui qui « rate » plus de la moitié des votes est sanctionné à hauteur de 60%.

En France, le président de l’Assemblée nationale François de RUGY veut faire « appliquer strictement » les sanctions financières pour les députés qui seraient « multirécidivistes de l’absence ».