Le gouvernement actuel, socialiste, remet en cause le remboursement anticipé d’une partie de sa dette au FMI en ces termes « La réalisation de futurs remboursements anticipés du prêt du FMI dépendra des conditions de marché et des besoins de financement, dont l’augmentation de capital de la banque publique Caixa geral de depositos». Ce n’est qu’une règle de « bonne gestion budgétaire » me direz-vous. Oui mais c’est surtout, la perte de la crédibilité de la parole de l’état. Hélas, il n’y a pas que le Portugal pour agir ainsi.