C’est ce que déplorent les économistes de GOLDMAN SACHS. Ils s’insurgent contre les progrès de la thérapie génétique qui, par ses progrès, limite l’utilisation des traitements médicamenteux, plus longs et donc « plus rentables » pour les laboratoires et donc pour la haute finance.

Mais où va s’arrêter la cupidité, des grands banquiers mondialistes ?