Je vous ai déjà entretenu des « toits potagers », notamment le 7 octobre 2017. Puis le 13 mars 2018, je vous ai informé de l’intérêt du monde scientifique pour ce phénomène. Le 28 mars 2018, je vous informais du plus grand espace cultivable sur un toit (650 m²), réalisé au centre médical de la ville de Boston aux USA.

Confirmant cette tendance lourde de « retour en force de la nature dans les villes », le projet d’une forêt d’un million d’arbres à Pierrelaye, dans le val d’Oise que j’ai évoqué dans mon billet du 19 mars 2018, semble en bonne voie.

C’est dans ce contexte que des chercheurs de l’ISYEB (Institut de Systématique, Évolution, Biodiversité, Muséum national d’Histoire naturelle, Sorbonne Universités) viennent de publier récemment une étude relative aux « forêts urbaines ».