Introduction

Je vous offre l’ensemble de mes billets, pour élargir l’étendue de vos réflexions et ainsi augmenter le « champ des possibles », notamment, sur le plan de votre patrimoine.

Le fait de citer divers auteurs, parfois (souvent) politiquement incorrects et généralement peu ou pas cités par les « grands médias », ne signifie pas pour autant que j’approuve la vision qu’ils développent.

Étant parfaitement conscient que les avis et positions que j’exprime dans mes billets sont l’expression de ma vérité, je vous donne l’accès à mes diverses sources d’informations, afin que vous soyez en mesure d’avoir une appréciation éventuellement différente de la mienne et ainsi construire VOTRE vérité. La seule qui vaille à mes yeux.

DES FAITS

Mon propos n’est pas de vous faire peur, mais de vous préparer, car c’est en sachant les choses qu’on peut mieux les gérer.

La semaine dernière, je posais la question : « Qu’une association de banques privées puisse mettre en cause à ce point la banque centrale des USA me fait à tout le moins, douter de sa toute-puissance. Celle-ci, que les grands médias mondiaux ainsi que les « Z’économistes patentés », ne cessent de nous marteler, ne serait que de façade ? ».  Comme tout bon architecte, avant de traiter la façade, il faut s’intéresser aux fondations. Si celles de la FED remontent au 22 novembre 1910, nous allons tout d’abord examiner ce sur quoi repose les fondations : le tréfonds, autrement dit, ce qu’il y a de plus « en dessous »…. La Genèse. Oui, avec un G majuscule, car il s’agit du livre de la Genèse. Traditionnellement attribué à Moïse, ce livre traite de la création du monde et de l’homme par Dieu. Il est le premier livre de la Torah et de la Bible.

V’la ty pas qu’Hubert nous fait une crise de mysticisme !!! Eh bien non… Quoi que.  Si je revendique pleinement le mot mystique dans son sens « caché, secret, dont la signification n’est discernable que par rapport au mystère », je me sens nullement concerné par celui, religieux, de : « relatif au mystère, à une croyance surnaturelle, sans support rationnel ». Mais revenons à la Genèse et plus précisément à la partie qui traite de l’histoire de Joseph en Égypte (Chapitres 37 et suivants). Vous allez voir comme la ressemblance avec la situation actuelle est « amusante ». Souvenez-vous que nous avons déjà vu dans mon 2ème billet consacré à l’histoire des États-Unis d’Amérique, l’importante dimension des références bibliques de ce peuple.

Voici le résumé de l’histoire. Joseph, fils de Jacob, est trahi par ses frères et vendu comme esclaves en Égypte. Au pays de pharaon, ses qualités intellectuelles lui assurent une fulgurante ascension sociale. De plus, c’est un excellent gestionnaire. Parce qu’il est loin des intrigues de la cour, Pharaon fait de lui son intendant. Joseph suggère une méthode pour éliminer les famines qui ravagent l’empire : Que partout à travers l’Égypte, on construise des greniers, et que dans ceux-ci, on dépose le cinquième des récoltes. Lorsqu’elles seront bonnes, les réserves s’accumuleront. En période de vaches maigres, Pharaon revendra le contenu et la disette sera évitée. Très vite le système entre en crise. Trop confiant dans « les greniers de Pharaon », le peuple d’Égypte cesse d’épargner. Chose prévisible, plusieurs mauvaises années se succédant, les Égyptiens n’ont plus les moyens de racheter leur blé. Joseph leur propose alors un « deal gagnant-gagnant » comme on dit aujourd’hui. Leur donner du grain en échange de quoi ils céderont leur terre à Pharaon, ce que le peuple accepte. En réservant l’épargne à Pharaon, Joseph est parvenu à confisquer le capital productif. C’est fou comme les choses se répètent.

La préface de Michel DRAC pour le livre d’Eustace MULLINS « Les secrets de la réserve fédérale » fait très bien le rapprochement avec notre époque : « Nous vivons aujourd’hui, à une échelle infiniment plus grande, la réédition des mécanismes décrits dans la Genèse ».

Après ce détour « biblique », revenons comme promis à la soirée du 2 novembre 1910. Déjouant habilement les journalistes new-yorkais, pourtant « sur le coup », le sénateur Nelson ALDRICH, alors chef de la Commission monétaire nationale et chef de la majorité républicaine au sénat, montait discrètement dans un wagon privé à bord d’un train en gare de Hoboken, dans l’état du New Jersey pour une destination non divulguée.

Il était accompagné de son secrétaire particulier, SHELTON, d’Abraham Piatt ANDREW (secrétaire adjoint au Trésor et assistant spécial de la commission monétaire nationale), de Franck VANDERLIP (président de la nationale City Bank of New York), de Henri Pomeroy DAVIDSON (l’associé principal dans J P Morgan compagnie), de Charles Dyer NORTON (président de la First nationale Bank of New York),  de Benjamin STRONG (lieutenant de J P Morgan) et de Paul WARBURG (associé de la banque KUHN LOEB &Co à New York). Autrement dit les plus importants banquiers privés de l’époque aux USA. Ce train, puis une vedette privée les emmenèrent dans l’état de Géorgie et plus précisément sur l’île de Jekyll. Celle-ci était la propriété d’un petit groupe de banquiers millionnaires dont John Pierpont MORGAN (J P pour les intimes) afin d’y abriter le très sélect et très privé « club de chasse de Jekyll Island ». Le nom de cette île est en lui-même tout un symbole. Bien que Robert Louis STEVENSON soit plus connu pour son roman « L’île au trésor », il est bon de rappeler qu’il a aussi (comme Félicie) écrit en 1886, la non moins célèbre nouvelle « L’Étrange Cas du docteur Jekyll et de Mister Hyde ». C’est le récit fantastique de deux univers qui s’affrontent : celui du Bien et du Mal.

Mais pourquoi tous ces mystères alors que le sénateur ALDRICH était officiellement chargé de préparer la réforme bancaire pour faire en sorte que le peuple américain ne revive pas le désastre de la panique bancaire de 1907 ? C’est en partie à l’absence de banque centrale qu’est attribuée cette crise financière majeure. La commission présidée par ALDRICH avait mandat de préparer le futur contrôle de la monnaie des États-Unis d’Amérique. Une « véritable réforme » aurait à l’évidence mis fin aux pouvoirs de l’oligarchie américaine. La structure de la future banque centrale était donc un enjeu MA JEUR pour ces banquiers, d’où leur volonté d’en contrôler secrètement les règles et de faire en sorte qu’elles soient appliquées.

Neuf jours de travail pendant lesquels ALDRICH, le seul non-banquier du groupe, voulait être et rester « le chef », WARBURG, le plus compétent techniquement, faisait l’essentiel du travail alors que DAVIDSON, fin diplomate, réussissait tant bien que mal à catalyser toutes les énergies. C’est que la tâche que s’était fixé tout ce beau monde était, non seulement de préparer un texte allant dans le sens de leurs intérêts, mais surtout de présenter LEUR « projet de réforme monétaire » comme étant le travail de la commission monétaire nationale. Un des points forts de ce texte était, à l’initiative de WARBURG, qu’il ne mentionnait aucunement le nom de « banque centrale ». En effet, les Américains avaient une longue tradition de lutte contre le fait d’imposer une banque centrale aux citoyens. Cela avait commencé en 1791avec le combat du 3ème président, Thomas JEFFERSON contre le projet d’Alexander HAMILTON soutenu par James de ROTSCHILD pour créer la première banque des États-Unis. Le texte  de WARBURG faisant état de « Federal Reserve System », nos « joyeux conspirateurs » se sont dit que les « sans dents » comme on ne les appelait pas encore… n’y verraient « que du feux ». Encore des souvenirs d’ancien pompier de Paris qui remontent à la surface. Pardonnez-moi.

Je reprends ici quelques extraits particulièrement documentés, du livre d’Eustace MULLINS déjà cité :

  • « Au chapitre qu’il consacre à Jekyll Island dans sa biographie d’Aldrich, voici ce que Stephenson écrit sur cette conférence : « comment la banque de réserve allait-elle être contrôlée ? Elle sera contrôlée par le congrès. Le gouvernement y sera représenté dans son directoire, il aura une connaissance complète de toutes les affaires de la banque, mais une majorité des directeurs seront choisis directement ou indirectement, par les banques de cette association ».
  • « Le conseil des gouverneurs de la réserve fédérale serait nommé par le président des États-Unis, mais le véritable travail de ce conseil serait contrôlé par un comité consultatif fédéral qui se réunirait avec les gouverneurs. Les membres de ce comité seraient choisis par les directeurs des 12 banques de la réserve fédérale et resteraient inconnus du public».
  • « À Jekyll Islande, Paul Warburg mit en avant la tromperie principale qui empêcherait les citoyens de reconnaître que ce plan créait une banque centrale. C’était le système de réserves régionales. Il proposa un système de quatre banques de réserve affiliées (plus tard ce furent 12 banques), situées dans différentes parties du pays. Peu de personnes en dehors du monde bancaire réaliseraient que la concentration à New York de la structure existante de la monnaie de la nation et de son crédit ferait de cette proposition le système de réserve régionale une illusion».
  • « Une autre proposition avancée par Paul Warburg à Jekyll Island fut la manière de sélectionner les administrateurs du système de réserves régionales envisagé. Le sénateur Nelson Aldrich avait insisté pour que les responsables soient nommés, et non pas élus, et que le congrès n’ait aucun rôle à jouer dans leur sélection. Warburg répondit que les administrateurs des banques régionales envisagées devraient être soumis, par le président, à l’approbation de l’exécutif. La suppression flagrante de ce système de contrôle parlementaire signifiait que la proposition de leur réserve fédérale était depuis le début inconstitutionnel, parce que le système de la réserve fédérale allait être une banque d’émission. L’article 1, section 8, paragraphe 5 de la constitution des États-Unis charge expressément le congrès du « pouvoir de battre monnaie et d’en réguler la valeur ». Le plan de Warburg priverait le congrès de sa souveraineté et les systèmes de contrôle et d’équilibre du pouvoir établi par Thomas Jefferson dans la constitution, serait désormais détruit».

Effectivement, l’article 1-8-5 nous précise que « Le Congrès aura le pouvoir de battre monnaie, de déterminer sa valeur et celle de la monnaie étrangère, et de fixer l’étalon des poids et mesures ». Voyez vous-même  ici anglais et là pour la version en français.

Le texte élaboré, notre « comté des sages » rentra à New York pour diriger une campagne nationale de propagande en faveur du « plan Aldrich ». Je reviendrais prochainement sur la notion de « propagande ». Les banques nationales contribuèrent à un fonds de 5 millions de dollars pour persuader le public américain que ce projet de banque centrale devait être voté par le congrès.

Nous avons vu, dans la 1ère partie de mes billets consacrés à l’impérialisme américain, comment : « Les États-Unis d’Amérique procèdent pour établir leur domination impérialiste commerciale. Il s’agit d’une forme de guerre très sournoise ou la corruption des dirigeants politiques et la manipulation des masses règnent en maître. La pratique du « billard à trois bandes », des « coups tordus », sans jamais l’affrontement direct, s’avèrent la marque de fabrique des stratèges US. De plus, ils savent parfaitement « endormir les peuples » qui, atteints du « syndrome de la grenouille », ne sont pas conscients des sombres desseins du « pays conquérant ».

Ce ne sont pas moins de 3 universités parmi les plus prestigieuses (Princeton, Harvard et Chicago) qui se mobilisèrent au profit de l’adoption du plan Aldrich. Woodrow WILSON, le futur 28ème président, alors qu’il était gouverneur du New Jersey et ancien président de l’université de Princeton déclara « tous ces problèmes pourraient être évités si nous nommions un comité de six ou sept hommes animés d’un esprit civique, tels que J P Morgan pour s’occuper des affaires du pays ». La fiche du Wiki consacrée à WILSON nous précise même « Le Parti démocrate, dont il est proche depuis les années 1890, le contacte en 1910 et le présente en tant que candidat au poste de gouverneur de l’État du New Jersey. Il doit sa victoire en particulier grâce au soutien actif du « Colonel House ».

Ce même « sympathique Wiki » dans sa fiche consacrée au Colonel HOUSE nous confirme ce point et nous apprends que ce fameux Edward Mandell HOUSE « contribue par la suite à installer sa nouvelle administration [du président WILSON]. Refusant un poste ministériel, il est nommé conseiller personnel du président, fonction dans laquelle il exerce une influence considérable et atypique dans l’histoire américaine. Bien qu’il n’ait jamais été militaire, il est nommé colonel honoraire de la garde nationale de son État d’origine. Membre important du parti démocrate, il occupe à la Maison-Blanche le bureau le plus proche du président et est parfois qualifié de « vice-président non officiel ».

Je vous garde le plus « intéressant » pour la fin. Merci Wiki. « House participe à la réunion de Paris, qui a jeté les bases de l’établissement du Council on Foreign Relations (CFR». Le revoilà notre « cher CFR ». Conspiration ? Complot ? Mais de quelle théorie parlez-vous ? Tout cela se fait au grand jour…. Quoi que !!! Ce que ne nous dit pas le Wiki, c’est que notre ami HOUSE disposait de la « connexion londonienne » obligatoire. Originaire d’une famille hollandaise, ses ancêtres avaient vécu en Angleterre pendant 300 ans. Après quoi son père s’installa au Texas où il fit fortune en tant que briseur de blocus durant la guerre civile.

Cela étant, il y eut deux farouches opposants de taille au plan Aldrich :

  • Un opposant réel : Charles Auguste LINBERGH,
    • Le père du « Charles célèbre »… non pas CHAPLIN, on pas de GAULLE… LINDBERGH… l’aviateur !!! Ce membre de la chambre des représentants (l’équivalent d’un député pour nous), faisait publiquement remarquer que « le professeur d’économie politique à l’université de Chicago James Laurence LAUGHLIN a bénéficié d’une année sabbatique afin de pouvoir consacrer tout son temps à la campagne d’éducation entreprise par la « ligue nationale des citoyens. Il y a travaillé inlassablement et c’est largement grâce à ses efforts et à sa persévérance que la campagne est entrée dans sa phase finale avec la perspective flatteuse d’une issue couronnée de succès ».
    • Notons « au passage » que l’université de Chicago a été fondée et financée par John Davidson ROCKEFELLER.
    • Témoignant devant la commission des lois le 15 décembre 1911, LINDBERGH déclare :
      • « Le projet Aldrich est le projet de Wall Street. C’est une vaste remise en question du gouvernement par celui qui a pris fait et cause en faveur du trust monétaire. Cela signifie une nouvelle panique pour intimider le peuple si besoin est. Aldrich, qui est payé par le gouvernement pour représenter le peuple, propose à la place un plan pour les trusts.
      • Notre système financier est un faux système et il représente un lourd fardeau pour le peuple.
      • Le gouvernement poursuit d’autres trusts en justice, mais il soutient le trust monétaire. J’ai attendu patiemment pendant plusieurs années l’occasion d’exposer le niveau incorrect de la masse monétaire et de montrer que le plus grand des favoritismes est celui que le gouvernement a étendu au trust monétaire.
    • Un opposant « de paille » : Carter GLASS
      • Président de la commission monétaire et bancaire de la chambre des représentants, il ne cessa de mettre en difficulté les promoteurs du plan Aldrich. Les conclusions de la commission sont sévères : « Nous nous opposons au projet Aldrich pour les raisons suivantes :
        • L’absence totale de contrôle gouvernemental ou public approprié sur le mécanisme bancaire qu’il crée
        • Sa tendance à placer le contrôle du vote dans les mains des grandes banques du système
        • Le danger extrême d’inflation monétaire inhérente à ce système
        • Les aspects monopolistiques dangereux de ce projet de loi».

Pourquoi ai-je écrit « opposant de paille » ? Carter GLASS est un véritable « Chevalier noir », car il faut préciser qu’il est un élu démocrate (équivalent de la gauche française) alors qu’ALDRICH est républicain (équivalent de la droite) et que s’il combat publiquement avec tant d’acharnement le plan Aldrich, c’est en réalité pour mieux promouvoir son projet de loi de réserve fédérale qui remplirait AUSSI les fonctions d’une banque centrale.

Il est particulièrement intéressant de mettre en parallèle ces pratiques d’hommes politiques avec celles que je vous rapportais dans mon billet du 23 octobre 2016 au sujet de nos députés de droite comme de gauche, qui, je suppose « pour de bonnes raisons », rejetaient un amendement de la loi de finances, défavorable au monde bancaire. Pour arriver à ce résultat favorable aux banques, ils répétaient EX AC TE MENT ce qui était écrit sur une « note blanche » que leur avait transmise l’association française des banques (AFB) !!!

Mais revenons à notre précieux texte. La « dernière ligne droite » est palpitante :

  • Le 18 septembre 1913, par 287 voix contre 85, le projet de loi Glass (qui a finalement remplacé le plan de House) est adopté par la chambre des représentants
  • Le 19 décembre 1913, le Sénat adopte sa propre version par 54 voix contre 34
  • Il reste encore plus de 40 points de désaccord entre les deux chambres.
  • Les « hommes de l’ombre à WARBURG » font croire aux opposants du projet, qui se préparent pour les vacances de Noël, que cela se réglera l’année suivante.
  • Ils font en sorte qu’en une seule journée, les 40 différences entre les deux textes soient gommées, une bonne partie des opposants au texte étant déjà partis de Washington.
  • Le 22 décembre 1913, la loi est adoptée par la chambre par 282 voix contre 60 et par le Sénat par 43 voix contre 23.
  • Lindbergh déclare à la chambre des représentants « Cette loi établit le trust le plus gigantesque de la terre. Lorsque le président signera ce projet de loi, un gouvernement invisible, celui de la puissance monétaire, sera légalisé».
  • Le 23 décembre 1913, le président Wilson signe le Federal Reserve Act.
  • Le 24 décembre 1913, le New York Times titre à la Une « Wilson signe la loi monétaire», ce que certains rappelleront « le massacre de Noël ».
  • Le 25 décembre 2013, The nation titre « La bourse de New York a commencé à croître sans interruption, une fois la nouvelle connue que le Sénat était prêt à voter en faveur de la loi de réserve fédérale ».

Pilotés discrètement par WARBURG, nos Z’amis banquiers, grâce à l’élection du président WILSON, qu’ils avaient organisée de main de maître, ont enfin créés « leur » Réserve Fédérale des États-Unis d’Amérique, la FED que nous connaissons encore aujourd’hui.

J’invite ceux d’entre vous qui désirent en savoir davantage sur les péripéties politico-financières de cette bataille de titans, à lire les 442 pages résumant 40 années de travail d’Eustace MULLINS, aux éditions Le retour aux sources.

Nous avons maintenant suffisamment d’éléments factuels pour voir à quel point le « temps long » est fondamental pour mener à bien un grand projet. Il est aussi important d’utiliser à son profit le syndrome de la grenouille. Tout cela, l’oligarchie anglo-américaine l’a bien compris et depuis longtemps elle utilise cette stratégie à son profit. Et si nous décidions d’en faire autant ?

Chers lecteurs, je vous donne rendez-vous la semaine prochaine pour voir quelles sont les conséquences de la création de la FED.

Passez une belle fin de semaine et surtout prenez soin de vous. Je vous aime et vous salue.