Dans mon billet du 2 novembre 2017, je vous faisais part de l’arrivée des concurrents du Vélib à Paris  » voilà le GoBee.bike (vert) et d’ici la fin de l’année, le Ofo (jaune). Nous allons en voir de toutes les couleurs« . Je concluais « Ce qui va être intéressant à observer, c’est le type de service qui va être proposé, maintenant qu’une concurrence se met en place. En effet, l’atout du GoBee.bike réside dans le fait qu’il peut être pris et déposé n’importe où. La question de l’abonnement va aussi être un élément du choix des utilisateurs parisiens« .

Le principal atout de ces nouveaux vélos, c’est qu’ils étaient disséminés en ville, géo localisables via une application pour smartphone et se louaient en scannant un code-barre, qui déverrouillait l’antivol, moyennant 50 centimes la demi-heure. L’usager déposait ensuite le vélo où il le souhaitait, sans l’attacher.

Si j’en parle au passé, c’est qu’hélas, Gobee.bike, la société qui avait implanté ce concept, arrête son service pour cause de vols et de dégradation de ses vélos. A l’heure ou nos politiques prônent le « vivre ensemble », des « petits malins » font fortune en volant des vélos !!! Pauvre France, « tout fou l’camp » !!!

 

 

Hélas.