Je vous relate depuis longtemps la « montée en puissance » de l’intelligence artificielle, notamment le 6 novembre 2017 ou je vous informais que « l’Alpha Go » avait pour la première fois totalement battu l’homme. Je vous précisais qu’il fallait d’interroger sur le fait que « le logiciel (programmé par des humains) a intégralement créé la connaissance qui lui a servi à gagner. C’est un changement complet de paradigme ».  Dans mon billet du 10 novembre 2017, je vous relatais l’utilisation de cette technologie dans le développement des voitures autonomes.

Aujourd’hui, c’est un autre aspect que je souhaite soumettre à votre analyse : celui du droit à l’oubli. L’entrée en vigueur du règlement général sur la protection des données (GDPR) au niveau européen le 25 mai prochain, accorde aux citoyens européens le droit d’exiger la suppression des informations personnelles les concernant, par le responsable du traitement des données des sociétés qui les collectent. Une intéressante étude tant à démontrer que ce « droit à l’oubli » semble poser de sérieux « problèmes » à ……l’intelligence artificielle !!!

Affaire à suivre, mais ne rêvons pas trop. La collecte et l’exploitation de nos données personnelles ne sont pas « une proie facile à lâcher » pour ses bénéficiaires.