Fin octobre dernier, l’autorité de sureté nucléaire (ASN) a rendu un rapport dans lequel elle dénonce « de nombreux équipements importants pour la sûreté sont dans un état de délabrement de nature à remettre en question leur fonctionnement, leur usure étant aggravée par un manque d’entretien et des réparations de l’ordre du rafistolage » concernant la centrale de Belleville-sur-Loire.

« Montée au créneau » immédiat des militants antinucléaire, qui ont porté plainte contre EDF et aussi contre le directeur de la centrale. C’est le grand débat de la sortie du nucléaire qui est encore posé.

Pour une foi, le ministre de la transition écologique et solidaire, , Nicolas HULOT, a été « franc et direct », en annonçant des durées réalistes pour le démantèlement des centrales,  mettant fin au jeu de la « patate chaude » que nos gouvernants pratiquent depuis toujours.