On n’arrrrête pas le progrès, où quand notre salive devient source d’énergie. Explications : Seokheun CHOI, chercheur à l’université Binghamton dans l’Arizona, a mis au point une batterie qui se recharge avec une bactérie présente dans la salive humaine, la Shewanella oneidensis. Le corps est bien fait quand même, non ?

La batterie est constituée de « papier électronique » plié comme un origami et rempli de capteurs récepteurs de la précieuse bactérie. Aujourd’hui, cette « batterie du futur » permet de recharger des petites lampes à LED et des smartphones.

Rendez-vous compte, quand cette batterie « autonome » aura quitté le stade du prototype et sera largement présente dans nos vies….. Les salariés d’EDF auront un « vrai motif » pour entamer une grève !!!