Nous sommes en plein délabrement social et sociétal. Notre ministre de « la culture », Audrey AZOULAY s’apprête à signer un décret « assouplissant » la règlementation relative aux règles d’interdiction aux mineurs des films « comportant des scènes de sexe non simulées ou de très grande violence » mise en place en 2003.

Cette décision favorisera, à coup sûr le développement de la violence et des agressions sexuelles, c’est l’évidence. Même si vous aurez toujours le « spécialiste reconnu » qui viendra nous expliquer le contraire au journal télévisé de 20 heures. Comment dès lors, feindre « l’étonnement » quand de très jeunes enfants tuent un de leur camarade, sans se rendre compte de la portée de leur geste ? Pourquoi  se dire « scandalisé » par les manifestations outrancières d’une sexualité débridée et de la banalisation des viols perpétués par des enfants ?

Pire, un élément de décision de la ministre, purement financier de la classification du film (l’âge des enfants retenu, en fonction de la violence ou la sexualité, pour l’autorisation de diffusion) : « la classification du film est très importante pour sa vie économique » !!!

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