Ce que l’on voit :

Avec la permission de mon camarade contrarien et impertinent, Charles SANNAT, je reprends le sujet de sa une du lundi 7 courant, pour le développer avec la philosophie de ce blog :

Des cambrioleurs entrent dans une banque d’une petite ville.

L’un d’eux crie : « On ne bouge plus ! L’argent appartient à la banque. Vos vies vous appartiennent ».
Immédiatement toutes les personnes présentes se couchent sur le sol calmement et sans aucune panique.

Ceci est un exemple de la façon dont le bon choix des mots d’un énoncé peut conduire toute personne à modifier sa vision du monde.

L’une des femmes est allongée sur le sol dans une pose provocante. L’un des voleurs s’approche et lui dit : « Madame, c’est un cambriolage, ce n’est pas un viol. Veuillez s’il vous plaît vous comporter de façon appropriée ».

Ceci est un exemple de la façon de se conduire professionnellement et de se focaliser sur l’objectif.

Alors qu’ils courent hors de la banque, le plus jeune voleur, titulaire d’un diplôme universitaire, dit au plus vieux, qui avait au mieux fréquenté l’école primaire : « Hé, nous devrions peut-être compter combien nous avons volé ? ».
Le vieux lui répond : « Ne sois pas stupide, on a un gros paquet d’argent et il suffit d’attendre les prochaines infos à la télé pour savoir combien on a volé ».

Ceci est un exemple où l’expérience vécue est plus importante qu’un diplôme universitaire.

Après le braquage, le directeur de la banque dit à son comptable : « Il faut appeler la police et leur dire combien on nous a dérobé ».
« Attendez », dit le comptable, « avant de faire cela, ajoutons à cette somme ce que nous avons pris pour nous-mêmes au cours des derniers mois ainsi que divers petits détournements et déclarons que le tout nous a été volé ».

Ceci est un exemple de la façon de tirer avantage d’une opportunité

Le lendemain, on apprend par les infos que le montant volé à la banque est de trois millions de dollars. Les voleurs se mettent alors à compter leur butin et ne trouvent qu’un million, ce qui les fait râler : « Nous avons risqué nos vies pour un million de dollars alors que la direction de la banque en a dérobé deux millions sans prendre aucun risque. Nous devrions peut-être apprendre comment fonctionne le système plutôt que d’être de simples voleurs ».

Ceci est un exemple du fait que le savoir peut être plus efficace que l’intimidation physique.

Moralité générale

DONNEZ UN REVOLVER A QUELQU’UN, IL POURRA VOLER UNE BANQUE A SES RIQUES ET PERILS

DONNEZ-LUI UNE BANQUE, IL POURRA VOLER TOUT LE MONDE EN TOUTE IMPUNITE…

Cette fable m’a été transmise par un camarade impertinent et j’ai tellement rigolé que j’ai évidemment décidé de la partager.

Charles SANNAT

Ce que l’on ne voit pas :

L’ambition « visible et affirmée » de ce blog, est de vous apporter un éclairage différent sur des faits qui sont trop souvent, « ignorés » par les grands médias, ou alors « déformés » pour rester « politiquement corrects ».

J’écris « visible » car, comme le disait Frédéric BASTIA : il y a ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas. Pour ce qui est de ce blog, son but est aussi de vous donner des informations permettant de vous rendre le plus autonome possible, vis-à-vis des « conseillers » de toutes sortes, en matière patrimoniale.

Pourquoi cette volonté ? Simplement par ce qu’en ces temps de crise, qui commence à impacter une partie significative de la population française, il est devenu impératif de « dépenser moins et mieux ».

De plus, je parle souvent dans mes billets, du « monde de demain » auquel il faut se préparer, car le paroxysme de la crise va provoquer la ruine de nombreux épargnants.

Nous sommes tous manipulés depuis tellement longtemps par les grands médias « aux ordres » du pouvoir politico-financier, qu’il « n’est pas évident » de remettre facilement en cause le confort intellectuel consistant à penser « je paye pour un service et ainsi, je gagne du temps pour faire d’autres choses ».

La crise actuelle a au moins cela de bon, qu’elle nous fait comprendre de manière plus ou moins criante, que les profits générés par « l’économie d’échelle » ne profitent qu’à un tout petit nombre de personnes et ne sont que très rarement répartis entre tous ceux qui y contribuent.

Encore une fois, les grands médias nous relatent trop peu qu’il se développe une « économie du partage » qui, elle, bénéficie par nature à tous ses intervenants.

Le 21ème siècle sera spirituel ou ne sera pas, aurait dit André MALRAUX. Bien que l’exactitude de la forme de cette phrase soit contestée, son sens profond me semble devoir être celui-ci : pour que notre monde, dans son ensemble, puisse continuer à exister et à se développer harmonieusement, il faut et il suffit que chacun de nous se responsabilise et oriente toute sa démarche de vie vers la spiritualité.

Attention au sens de ce mot. Actuellement en occident, la spiritualité est souvent associée à la religion. Je parle ici du sens premier de la spiritualité, c’est-à-dire sur le plan philosophique. Il s’agit de la quête du sens de sa vie. Il a maintes fois été prouvé, qu’en intégrant une approche davantage centrée sur l’humain, on emporte une adhésion plus forte et donc au bout du compte, de meilleurs résultats.

Ce que voit Alex Andrin

Le pouvoir de changer les choses est à nous.
Pour ce faire, soyons curieux et obstinés.
Posons des questions. Rien ne doit rester tabou.
C’est en restant passif que nous serons ruinés.
Tant de nos certitudes se sont envolées,
Qu’il est temps d’arrêter d’être manipulé.
Gardez confiance, je vous aime et vous salue.